L’image de la Ferrari F1-75 #16 de Charles Leclerc intégré aux barrières hors échappée de la courbe ‘Beausset’, il rappelait inexorablement aux fans de la Scuderia di Maranello le SF71H n°5 de Sebastian vettel contre les protecteurs du virage Sachs dans le Motodrom d’Hockenheim lors du Grand Prix d’Allemagne 2018, une erreur clé du quadruple champion du monde un dimanche qui l’a vu partir de la pole position, tandis que Lewis Hamilton a été contraint à un retour par l’arrière .
L’arrivée des gouttes de pluie a donné des ailes au quadruple champion du monde au volant de la Mercedes et a plutôt trahi Sebastian Vettel, l’un des nombreux épisodes peut-être décisifs pour déplacer l’inertie de ce championnat initialement remporté par Ferrari, un vent qui de à partir de la moitié de la saison, il est revenu souffler dans les voiles de Lewis Hamilton à l’exception de la victoire magique remportée par Vettel à Spa en Belgique. Ce n’est pas la pluie qui a trahi Charles Leclerc dimanche dernier au Paul Ricard. Le Monégasque a commis une erreur, très lourde à la clé d’un élan vers le championnat du monde, étant donné qu’un dimanche qui pourrait le ramener à -30 de Max Verstappen en cas de gain du meilleur tour, il s’est transformé en le troisième zéro de la saison avec conséquente descente aux enfers à -63 par rapport au Néerlandais, qui n’avait jamais eu un si gros avantage au classement.
Jean Alesicependant, il n’est pas d’accord pour comparer le départ de Charles Leclerc de la piste à celui de Sebastian Vettel : « Je ne suis pas d’accord avec ceux qui comparent la sortie de piste de Charles à celle de Vettel à Hockenheim en 2018. Deux erreurs différentes dans des conditions différentes, en se rappelant que Seb avait quatre titres mondiaux derrière lui et une longue carrière au sommet, au contraire par Leclerc. . Qui, même par rapport au Verstappen d’aujourd’hui, doit être évalué différemment. Peut-être en se rappelant combien de critiques ont été adressées à Max jusqu’à l’année dernière « écrit Jean Alesi dans son commentaire habituel du mardi sur le Corriere della Sera.
L’ancien pilote Ferrari souligne la belle réaction de Mattia Binotto et de tout le garage de la Scuderia di Maranello en faisant un carré autour du monégasque : « En fin de course, j’ai vu une belle attitude de la part de Binotto et de tout le staff Ferrari envers un pilote, Leclerc, en fait mortifié, au moral bas. Ils étaient tout autour de lui, affectueusement, sans montrer la moindre nervosité. Et bien, après tant de soupçons sur la qualité des relations internes à Ferrari, je pense que l’équipe fera tout pour accompagner le rétablissement de Charles, même si c’est très difficile. La voiture est destinée à devenir imbattable non seulement à court terme, mais aussi dans les prochaines années ».