La décision du gouvernement d’exclure les incitatifs automobiles du pool entreprises et location de véhicules ça n’a pas vraiment été digéré par Aniasa. Ainsi, l’Association qui représente le secteur des services de mobilité dans Confindustria a déposé une plainte auprès de l’Autorité de la concurrence et du marché, plus commodément connue sous le nom d’Antitrust : ils sont il y a trois aspects faussant la concurrence sur lequel porte la plainte, qui juge incompréhensible la décision d’exclure pour la première fois la location longue durée de ce cycle d’incitations.
Chiffres en main, en effet, les de location représente aujourd’hui le principal outil capable d’accélérer la rotation des véhicules les plus polluants, grâce à une part importante d’immatriculations de voitures hybrides et électriques rechargeables et un taux de rotation des véhicules de la flotte bien plus rapide que la moyenne de notre flotte en circulation. Outre la location, l’absence de entreprises: leur exclusion a pour effet d’orienter l’offre des constructeurs automobiles vers la vente de voitures neuves aux particuliers, réduisant ainsi significativement l’offre de véhicules aux flottes d’entreprises et aux loueurs. Enfin, mais non des moindres, le point lié à partage de voiture, qui était formellement inclus dans l’audience des bénéficiaires mais uniquement à condition d’un achat direct des voitures par les opérateurs. Un choix, selon Aniasa, qui rendra la mesure inefficace au regard de l’objectif attendu de contribuer au redémarrage des services de partage.
« Le décret tel qu’il est configuré stimule fortement la demande l’achat de véhicules avec une distorsion de concurrence grave et inévitable, au détriment des opérateurs du marché, mais surtout des consommateurs privés, qui, précisément dans cette phase de transition écologique, voient la possibilité d’utiliser la location pour se rapprocher, à des coûts abordables , en péril , aux nouveaux véhicules hybrides et électriques – a commenté le président d’Aniasa, Alberto Viano – Nous espérons que le gouvernement pourra corrigez ça rapidement à une mesure ancrée sur la notion de propriété, favorisant ainsi réellement la liberté de choix des consommateurs sur la forme d’acquisition des voitures ».