« Après le majeur de Fernando Alonso chez Alpine, voilà à mon avis à quoi ressemblera la grille de départ 2023 pour les équipes qui n’ont pas encore défini les pilotes. C’est ce qu’on appelle une saison folle pour une raison, n’est-ce pas ? » Alors hier un Marcus Ericsson toujours actif sur les réseaux sociaux – il a d’ailleurs exprimé son étonnement dimanche devant le harakiri de Ferrari en Hongrie – il s’était déséquilibré sur l’évolution du marché des pilotes avant qu’Alpine n’annonce officiellement la promotion d’Oscar Piastri catégoriquement refusée après moins de deux heures par le personne concernée.
Evidemment dans le milieu Indycar (Ericsson était leader du championnat jusqu’à dimanche dernier et a déjà affiché l’Indianapolis 500 en ce 2022) Les projets « européens » de McLaren avait déjà circulé et en fait le Suédois a rejoint l’Australien à Lando Norris en McLaren à la place de Daniel Ricciardo.
L’ancien Caterham et Alfa Romeo à la lumière des développements d’hier suite à sa « prophétie » a souligné que pour l’instant son « pari » est toujours en jeu. Ericsson prévoit des mouvements non indifférents parmi les écuries qui ont encore des places disponibles. D’après Ericsson Daniel Ricardo rejoindra Kevin Magnussen à Haas, avec Mick Schumacher dans AlphaTauri aux côtés de Yuki Tsunoda.
Le « pilote de consolation » pour Alpine sera un super profil, à savoir celui de Pierre Gasly qui a déjà annoncé son séjour en AlphaTauri mais pourrait être « prêté » à l’équipe transalpine exactement comme cela s’est passé avec Carlos Sainz lors de la finale 2017 et pour la saison 2018. Alpine aurait ainsi le couple de rêve 100 % français. Guan Yu Zhou a confirmé à la place dans Alfa Romeo aux côtés de Valtteri Bottas. Chez Williams en revanche, pas de surprise : avec Alexander Albon, Logan Sargeant ne sera pas l’élu de Jost Capito, mais Nyck De Vries.
Bien bien bien 😜 #F1 #SillySillySeason https://t.co/CJcffglRFZ
– Marcus Ericsson (@Ericsson_Marcus) 2 août 2022