[Rassegna stampa] – Le triste dimanche de Paul Ricard est désormais dans le rétroviseur de la Ferrari. Après l’erreur de Charles Leclerc et la prise de conscience d’avoir encore une fois perdu l’occasion de réduire l’écart avec Max Verstappen et Red Bull au classement mondial, il est temps de tourner la page à Maranello. Le calendrier offre à tout le monde Ferrari une savoureuse opportunité de revanche, étant donné que la dernière course avant la trêve estivale – prévue ce dimanche – aura lieu en Hongrie.
La piste de Budapest semble être spécialement conçue pour favoriser les points forts de la F1-75, de la vitesse dans les virages lents à la nette suprématie en qualifications. En chiffres, ils disent que la course mondiale est désormais presque impossible. Le team principal Mattia Binotto et le responsable des stratégies Iñaki Rueda ne se sont pas cachés après l’amertume de Paul Ricard, annonçant la volonté de toute l’équipe de marquer un doublé sur le circuit hongrois. Gianluca Gasparini, des pages de Gazzetta dello SportCependant, il est convaincu que la meilleure façon de s’offrir un dimanche de rêve au Hungaroring est de ne pas faire trop de calculs sur le classement, mais plutôt de raisonner course par course dans l’espoir de retrouver cette habitude de gagner qui était typique de Ferrari à l’époque. le début du millénaire.
« Sert le week-end parfait. Mais pour qu’il le devienne, la première règle à suivre sera de ne pas le vivre comme si c’était le dernier recours […]. Le Cavallino doit affronter les dix GP qui manquent à la conclusion […]mettant de côté le raisonnement de classement. […] une autre pensée à rejeter […] est ce qui interprète le championnat du monde de cette année comme quelque chose d’unique ou presque […]. […] en 2023 il n’y aura pas de révolutions techniques […]. […] du point de vue du châssis et du groupe motopropulseur, Maranello se porte bien, même d’un point de vue futur. ça n’arrive pas cette année […], vous pourrez réessayer sereinement l’année prochaine. Cela aide également à courir plus librement de la tête […].