Fenêtre des missions: en Hongrie, la bonne fenêtre de fonctionnement des pneus était le thème de la course, avec les Ferrari F1-75 déplacées par la baisse significative de la température de l’asphalte par rapport aux simulations de long terme effectuées lors des essais libres du vendredi lorsque la piste était proche de 60° C Dimanche, la course n’a pas atteint les 30 ° C et le froid a certainement aidé les Red Bull RB18 par rapport aux Ferrari F1-75 très préférées.
Les températures ont joué un rôle fondamental pour remettre la Mercedes W13 en course, mais le « mérite » était un risque calculé de la part des hommes de l’équipe Brackley. Le journal allemand Auto Moteur et Sporten fait, il a souligné que par rapport aux week-ends précédents chez Mercedes, ils ont décidé d’être moins conservateurs en termes de jantes et de dissipation thermique associée. Contrairement à Ferrari et Red Bull, qui ont préparé les tours de qualification avec des tours de lancement très lents, Russell et Hamilton ont été invités à exécuter des tours de lancement comme s’il s’agissait de tours chronométrés, en raison des ajustements effectués en termes de jantes et de dissipation thermique ou non.
Le pari pris par Mercedes s’avère payant, car lebaisse des températures combiné aux ajustements apportés aux jantes n’a pas entraîné de surchauffe et de détérioration des pneus, ce qui a toujours plutôt bien fonctionné avec Russell qui devait encore demander aux pneus chaque gramme de bande de roulement pour terminer le deuxième relais avec un moyen 31 tours pneu. Lors des courses précédentes, afin de ne pas risquer de générer trop de chaleur et de trop cuire les pneus, les réglages des roues avaient été plus conservateurs qu’en Hongrie, où après un vendredi très difficile en Mercedes, ils avaient décidé de faire un choix plus extrême que d’habitude. la baisse des températures. Ainsi est venue la première pole en carrière de George Russell et celle de la saison pour Mercedes, qui a fêté dimanche son deuxième double podium consécutif après celui de la France, également grâce à un jeu d’équipe stratégique très efficace.
En Hongrie, l’ancien pilote Williams a mené la course tout au long du premier relais, ne cédant qu’à la charge de Charles Leclerc au 30e tour. Après avoir défendu la pole position au départ, Russell n’a pas tenu un rythme irrésistible dans la première partie de course. Le rythme de la classe 1998 combiné à l’indécision du mur Ferrari à ne pas céder immédiatement la place à Charles Leclerc face à Carlos Sainz a permis à Lewis Hamilton et Max Verstappen de ne perdez pas trop de terrain dans les premiers tours, secondes qui se sont ensuite avérées utiles à l’occasion du deuxième arrêt avec lequel Red Bull a mis la pression sur le mur Ferrari lui faisant commettre une erreur. Une erreur qui lui a ouvert les portes de la victoire à Verstappen et du podium à Hamilton.