[Rassegna stampa] – Il n’y avait même pas le temps de commencer à s’ennuyer dans les premiers jours de la pause estivale de quatre semaines que s’est accordée la Formule 1. La première partie de la saison avec le GP de Hongrie s’est terminée, en fait, ici elle s’ouvre avec un rugissement que personne on avait prévu la porte du ‘sale temps’ la plus étrange et la plus controversée de ces dernières années. Ce fut d’abord l’annonce, très peu attendue, du transfert à Aston Martin de Fernando Alonso, décidé par l’Asturien en l’espace de quelques jours et même pas communiqué à l’Alpine, qui s’est ainsi retrouvée avec le match en moins. L’équipe française s’est alors tournée vers son jeune troisième pilote, le talent australien Oscar Piastriqui a pourtant répondu pique de la manière la plus spectaculaire possible.
Le champion de F3 et de F2 a en effet a publiquement démenti l’annonce officielle faite par l’équipe, précisant qu’il n’a pas l’intention de courir en 2023 avec l’équipe qui l’a élevé. Selon les rumeurs du paddock, en effet, le manager de Piastri, Mark Webber, a déjà signé un pré-contrat qui amènerait le pilote Aussie dans Mc Laren, en remplacement de son compatriote Daniel Ricciardo. L’ensemble de l’affaire devra évidemment passer par l’examen minutieux de nombreux avocats des différentes parties concernées. En attendant, Renault doit cependant essayer de se protéger si Piastri parvient vraiment à se libérer et à migrer vers d’autres rives. De nombreux journalistes français donnent Ricciardo comme favori, qui reviendrait dans l’équipe qu’il appelait chez lui au cours de la période de deux ans 2019-2020. D’après Fulvio Solms Corriere dello Sportau lieu de cela, les noms sur la table seraient d’autres. Parmi ceux-ci, étonnamment, aussi celui de l’italien Antonio Giovinazziactuellement troisième pilote Ferrari.
« […] Ricciardo a largué Renault assez brutalement fin 2020 et il est peu probable que […] Luca De Meo […]métabolisé cette volte-face. Ce sont d’autres […] les noms des candidats […] Antonio Giovinazzi et Mick Schumacher, et le Néerlandais Nick De Vries. Giovinazzi […] mal à l’aise en Formule E, il a longtemps été en contact avec diverses écuries et avec les Français eux-mêmes pour revenir en Formule 1. Les possibilités […] il n’y a pas de pénurie : en plus d’Alpine, Haas et Williams sont une option à la place de Nicolas Latifi, moins Alpha Tauri à la place de Yuki Tsunoda. […]“.