Ces dernières semaines, les rumeurs sur un éventuel retour de la Formule 1 sur le continent africain se font de plus en plus insistantes, et plus précisément dans Afrique du Sud. Ici même, en 1993, la dernière édition valable pour le championnat du monde s’est déroulée sur le circuit de Kyalami, désormais de plus en plus proche d’embrasser le Cirque. Aujourd’hui, 13 juin, le président et chef de la direction de F1 Stefano Domenicali en fait, il rencontrera les officiels de la même piste, dans le but déclaré d’inclure l’étape sud-africaine déjà dans le calendrier de la saison 2023et donc exactement vingt-trois ans après la victoire d’Alain Prost au volant de la Williams.
À l’heure actuelle, aucun accord officiel n’a encore été conclu, mais l’intention de conclure positivement l’accord est née des propos de Domenicali lui-même, qui a ainsi commenté le désir d’inclure l’Afrique du Sud dans le prochain championnat : « Nous avons deux options pour une nouvelle course, et celui qui se matérialisera très probablement sera Kyalami – a admis l’ancien directeur de l’équipe Ferrari – ça fait partie de notre agenda et il y a un engagement à voir si ça peut être mis au calendrier dès que possible ».
Un projet qui s’accorde d’ailleurs parfaitement avec celui de la FOM d’étendre le nombre de rendez-vous à 25 au total pour la saison prochaine. À l’heure actuelle, la première étape de la Formule 1 serait de publier un projet de calendrier avant les vacances d’été de 2022. Limité aux GP qui pourraient être officialisés en 2023, en plus de celui déjà établi à Las Vegas, il reste cependant le grand doute lié à un retour de la Chinecomplice des problèmes persistants liés au Coronavirus et aux protocoles toujours en vigueur.