La Ferrari de retour en pole France et il le fait avec Charles Leclerc et avec une qualification parfois dominé et cela, sans la pénalité de Sainz, aurait probablement conduit à une première ligne entièrement rouge. Un excellent tour de Leclerc, assisté d’un travail en équipe vraiment magistral, a conduit au résultat souhaité pour le Monégasque et à la meilleure position pour le départ de la course française. La jeu de réveil orchestrée directement par les conducteurs du rouge, elle a été exécutée à la perfection, bien qu’elle soit au même endroit très dur de la piste comme la courbe de Signes, qui se fait en entier. Au sujet du jeu de wake, il semble juste d’apporter quelques précisions. La première est que nos données montrent le gain de Leclerc sur son temps Q2 de seulement 56 millièmes, donc pas une différence substantielle et en tout cas pas de nature à lui garantir la pole position. Cela ne doit toutefois pas nuire à la geste technique et la collaboration des deux pilotes, qui ont réalisé une manœuvre « flèches tricolores » vraiment parfaite. La dernière considération est qu’à notre avis, le jeu de wake de la première tentative en Q3 c’était en fait celle qui était décisive. Évidemment pas dans le temps, mais en permettant à Leclerc, qui à cette occasion avait fait un tour moins que parfait, de cependant, restez devant Verstappen de 8 millièmes et d’affronter la dernière tentative dans une situation psychologiquement améliorer. Cela dit, le dernier tour de Leclerc était excellent et la pole est arrivée à juste titre. Une autre considération que nous voulons souligner est que Le dernier tour de Sainz en Q2qui enregistrait encore le deuxième temps de la journée, était probablement le meilleur tour de l’Espagnol en qualifications tout au long de l’année avec une conduite vraiment propre et efficace du plus haut niveau. La voiture numéro 55 partira de l’arrière mais évidemment avec un grand potentiel de retour, en espérant une voiture de sécurité favorable. On se demande si Sainz a retrouvé cette forme dans le tour lancé ce week-end malgré la pénalité ou précisément parce que je me décharge de toute pression. Le fait est que l’Espagnol semblait dans son meilleur état à chaque séance et en course, il pourra encore bien faire. En descendant aux détails techniques et en restant chez Ferrari, on a l’impression qu’il y en a un légère différence d’équilibre entre les deux coureurs du rouge. Leclerc a une voiture avec un essieu avant très solideà la fois pour répondre à son style de conduite et probablement pour protéger les pneus avant dans les relais infernaux de la course, où les chaud mettra les toits à l’épreuve. L’impression est que cette configuration est adapté aux composés de coursedonc moyen et dur, mais que l’adhérence supplémentaire du caoutchouc souple a rendu l’avant même trop précisforçant Leclerc en qualifications à gérer un arrière qui il ne pouvait pas suivre le front, dans une situation qui n’est pas parfaite et propre, bien qu’elle lui plaise du point de vue de la réactivité de la voiture. En compétition ça devrait être plus facile pour le monégasque avec un plus grand équilibre entre les deux axes. A l’inverse Sainz a montré un léger équilibre plus équilibré également avec du caoutchouc souple. Si la configuration préférée de l’Espagnol est précisément avec un équilibre décalé vers l’arrière, l’autre raison qui vient facilement à l’esprit est que Sainz devra effectuer beaucoup de dépassementss’appuyant souvent sur traction rester près des adversaires puis les dépasser dans la ligne droite. Cela signifie que protéger les pneus arrière plusen reculant le balancier, il devient Le Meilleur Choix. Ce choix semble aussi être la fille de ce qui s’est passé avec Leclerc au Canada, qui s’est retrouvé avec un arrière léger et des pneus usés ne pouvant plus attaquer les voitures de devant car il manquait de motricité. Absolument cependant cela montre un grande flexibilité du F1-75capable d’amener sur la piste des montages soigneusement étudiés par des ingénieurs et extrêmement efficace.
Le rival de Leclerc dans la course sera évidemment Max Verstappen avec son Red Bull. Après avoir abandonné quelques modifications, le RB18 semble avoir fait un pas en arrière en termes d’évolutionrevenu à un réglage a charge inférieure, plus rapide dans la ligne droite mais souffrant dans les virages. Nous avions en effet remarqué à quel point le processus de mise à jour de la voiture de Newey était allé dans le sens de chercher une plus grande chargece qui a cependant été nécessaire pour que cette course abandonne car la voiture est devenue imprévisible en termes d’équilibre, aggravant l’usure globale des pneus. Après les qualifications, Laurent Mekies a parlé d’un Red Bull très fort en course, même si, dans une situation idéale, la plus grande charge de Ferrari devrait fortement favoriser l’équipe de Maranello précisément en termes de rythme de course et de gestion des pneus. Cependant, nous savons que le niveau d’énergie que les voitures donnent à ces pneus est souvent des limitesdonc parfois même un niveau de charge légèrement inférieur mais avec un bon équilibre il parvient toujours à faire fonctionner correctement les couvercles et il en faut très peu pour déplacer l’aiguille de la balance. Si nous allons voir le comparaison de données entre Verstappen et Leclerc, cependant, la réponse est irréfutable.
D’après le graphique, il est immédiatement évident que Red Bull a de nouveau un avantage significatif en ligne droitemais comme Ferrari l’emporte comme vitesse minimale et maniabilité dans toutes les courbes du circuit (sauf le dernier, grâce à un tir au rein de Verstappen). Du graphique accélérateur il est évident que dans la courbe Leclerc peut l’utiliser davantage, revenant d’abord au gaz, ainsi que gérer plus facilement le survirage à la sortie du virage 2. Le graphique d’écart (celui du bas) indique facilement comment Verstappen s’étire linéairement sur les lignes droites (signe sans équivoque de moins de traînée), mais aussi comment à chaque virage le graphique fait face un pas clair en faveur de Leclerc. Si nous examinons enfin le carte des gaz dans le troisième secteur, le plus critique pour les pneus et la charge aérodynamique, ces effets sont encore plus évidents.
Au virage 11, Leclerc (venant lui aussi dans le sillage de Sainz) peut déconnecter plus tardgérer de manière beaucoup plus progressive le très difficile virage 11 e anticiper le retour sur l’accélérateur. Même scénario pour le virage suivant, 12, et l’avant-dernier, 14, avec Leclerc che arriver plus tard e remettez le gaz d’abord production. Seulement dans le 15, le dernier, Verstappen parvient à donner une petite larme, un coup de reins pour tenter de gagner quelques centimes sur son rival, s’échappant quelques mètres après Leclerc.
En conclusion, Ferrari semble capable de pouvoir tirer grand avantage par les mises à jour apportées à la piste, qui renvoient plus de charge e un excellent équilibre de la voiture d’un point de vue course. Le Grand Prix, cependant, sera très durentièrement joué sur gestion du caoutchouc et sur les températures élevées et la délicatesse des équilibres vus cette saison est de nature à laisser les portes ouvertes à tout résultat.