Charles Leclerc il termine le Grand Prix du Canada en cinquième position, un résultat qui rentre dans les objectifs que Ferrari s’était fixé la veille, même si la défaite de Sergio Perez pourrait donc faire penser à autre chose. En réalité à Montréal, le Monégasque a perdu quelques points probablement à cause de certains détails de la course qui n’ont pas favorisé la classe 1997. Surtout, l’arrêt au stand a été lent, le cric arrière glissant. Un détail qui obligeait Leclerc à attaquer quatre voitures avec des pneus neufs les « brûlant » un peu. Ci-dessous l’analyse de la course en vue de l’avenir de Leclerc aux micros de Sky Sport F1.
Concours de patience
« Je me suis amusé à la fin, mais au début j’ai dû attendre car j’étais derrière un train de voitures avec DRS, puis j’ai trouvé Ocon avec des pneus neufs et je n’avais aucune motricité à la sortie de l’épingle car les miens étaient maintenant terminés. L’arrêt au stand ne s’est pas bien passé et j’ai dû immédiatement attaquer les quatre pilotes devant moi avec des pneus neufs ».
Mercédès « incroyable »
« Notre rythme était meilleur que ce que nous avons vu, au final je n’avais pas de caoutchouc pour les attaquer, c’est sûr qu’ils se sont bien passés ici et donc le championnat sera de plus en plus intéressant ».
Retour mondial
« J’y crois toujours, 49 points, c’est deux courses, maintenant nous irons à Silverstone pour gagner. Nous nous remettrons de cet inconvénient, nous réussirons. Je ne peux pas me contenter d’une cinquième place, mais finalement on ne pouvait pas faire grand-chose de plus avec ce qui nous est arrivé. Alors ça va ».