La marque japonaise Nissan a présenté son nouveau document de durabilité financière et environnementale, lié à la future génération de véhicules électriques, à la production de batteries et à des services de mobilité sans précédent. Tout ça pour aller intervenir sur ce qu’il y a Financement ESGun territoire où se concentrent les plus gros investissements des réalités mondiales, qui soutiennent des projets particulièrement verts ou soucieux de l’égalité entre les hommes.
« Les fonds de la Cadre de financement durable de Nissan ils serviront à soutenir les projets de Nissan dans l’utilisation des énergies renouvelables, les systèmes de production verts, les infrastructures de recharge pour les voitures électriques, la réutilisation des batteries et les technologies de conduite autonome. Les fonds seront levés par le biais d’obligations vertes, d’obligations durables, de prêts verts et de prêts durables, soulignant l’engagement de l’entreprise à promouvoir des habitudes éco-durables en renforçant son engagement à faire du monde un endroit plus propre, plus sûr et plus inclusif.», lit-on dans un passage du document transmis à la presse.
Les critères d’évaluation pour accéder aux fonds du Nissan Sustainable Finance Framework, pour les projets d’amélioration des activités et pour le développement de nouvelles technologies, suivent les indications fixées par Sustainalytics, un organisme indépendant de recherche et de données ESG. Les objectifs sont génériques mais suffisamment précis pour comprendre dans quelle direction le constructeur japonais pourrait aller. Nissan s’engage à développer des produits et des composants pour les véhicules électriques ou à faibles émissions; réduire les émissions de CO2 ; investir dans les énergies renouvelables et améliorer l’efficacité énergétique dans le processus de production (comme la gestion durable des eaux usées).
Nissan encouragera également l’installation d’installations et de systèmes de recharge pour stocker l’énergie grâce à l’utilisation de batteries, et cherchera à mettre en œuvre le concept de économie circulaire, mieux gérer les déchets. Il donnera également lieu à des projets MaaS (mobility as a Service) dans des zones peu peuplées ou sinistrées (notamment au Japon).