Ce qui s’est passé au 18e tour du GP de France a été un vrai rebondissement, avec Charles Leclerc qui a perdu le contrôle de sa Ferrari SF-75, percutant les barrières de la Curva 11. Le Monégasque n’a ensuite pas pu remettre sa voiture sur les rails, récoltant ainsi son troisième « zéro » saisonnier en autant de courses où il était en tête. Un résultat mortifiant pour les ambitions de titre de Leclerc, qui devant les journalistes a pris le blâme pour ce qui s’est passé, de manière plutôt critique et sévère, admettant que ce type d’erreurs ne lui sont pas accordés, étant à la lutte pour le championnat du monde.
Qui ne croit pas à l’erreur de conduite de Leclerc, également attestée par les données de télémétrie, était Nico Rosberg, qu’un Ciel Royaume-Uni a expliqué : « Je pense que c’était vraiment de Charles prématuré de prendre le blâme. La façon dont l’accident s’est produit était vraiment inhabituelle, d’ailleurs il n’a même pas poussé fort, mais a économisé les pneus. Par exemple, à l’arrière, à cet endroit, c’est exactement là où vient le vent, et une rafale malheureuse ou quelque chose comme ça peut prendre jusqu’à 20% de votre charge à ce moment-là. Et que se passait-il au niveau du moteur ? C’est assez une petite coupure de courant ou quelque chose comme ça pour avoir ce genre de problème arrière. Je pense qu’ils doivent prendre un peu de temps pour enquêter sur ce qui s’est passé, pourquoi Je ne peux pas croire que ce soit une erreur de pilote« a conclu l’ancien pilote allemand.