Turin elle figure parmi les villes les plus polluées d’Europe et ce record n’est certainement pas à envier. Au contraire, elle doit représenter une sorte de signal pour la capitale piémontaise : un tournant s’impose de ce point de vue, avec les administrations régionales et municipales qui sont appelées à apporter leur propre contribution fondamentale. La ville a besoin de mesures réglementaires émissions et smog, puisque le classement est très long et qu’il reste encore de nombreuses places à récupérer. Chiara Foglietta, conseillère à l’environnement de Turin, en a parlé aux micros de La Stampa.
« Nous travaillons avec la Région pour prendre des mesures pour faire baisser le niveau des polluants comme le dioxyde d’azote, dont les émissions nous ont été condamnés – il a commencé – Les actions sont d’augmenter le trafic cycliste et piéton et les 30 zones, en accord avec les Circonscriptions, et aussi le renouvellement de la flotte de transport public dans une optique de durabilité ». La même Foglietta a compté parmi les les raisons principales les procédés de combustion, les transports, la production d’énergie, le chauffage, les productions industrielles qui impliquent des émissions directes de polluants et la position géographique de Turin et du Piémont ont entraîné une augmentation de la pollution. « Pour nous, il est essentiel que des incitations et des politiques arrivent de Rome pour nous aider à réaliser ce que nous voulons. La transition écologique et énergétique a coûts très élevésqui ne doit pas peser sur les citoyens « il ajouta.
Le conseiller pour l’environnement de la capitale piémontaise a révélé quels sont les marcher ce qui conduira à une baisse des niveaux de pollution dans la ville : « Le point de départ a été la victoire dans l’appel européen ‘100 villes climatiquement neutres d’ici 2030’ : nous devrons préparer un contrat climatique avec la Commission européenne avec des actions à mettre en œuvre d’ici 2030 et un plan économique et financier d’accompagnement. En parallèle, nous avons signé un protocole avec l’Ecole Polytechnique, la Pôle Energie, l’Université et l’ESCP Business School pour activer les processus de transition écologique et de transformation du système énergétique urbain. Enfin, avec la victoire de l’appel d’offres Maas, nous aurons 2,5 millions et 800 mille euros supplémentaires disponibles pour GTT favoriser intermodalité, en plus des 7 millions dédiés à la mobilité intelligente. Les gens pourront utiliser une seule application pour se déplacer en tram, prendre un scooter, un vélo partagé ou un train ».
La Foglietta a conclu son intervention en évoquant les difficultés de la transports en commun locaux: « Les inefficacités sont principalement dues à un réseau et une infrastructure datant de 1982, donc très vétustes. Au premier semestre 2023, nous recevrons les fonds pour la nouvelle ligne 12, une connexion importante avec les zones du district 5 et du stade Allianz. Avec la réorganisation de la Piazza Baldissera, nous restaurerons les voies de la ligne 10. Nous étudions également Solutions alternatives pour rétablir la ligne 3 à piazza Hermada. Les travaux de conception du métro 2, déjà financés, avancent également ».