Fini aussi deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn et la curiosité envers la première qualification grandit de plus en plus. Comme d’habitude, nous avons soigneusement analysé les données du tour le plus rapide et des tests de rythme pour essayer d’obtenir des informations supplémentaires sur le niveau des voitures sur la piste.
Aston Martin avec un bon appui
Pendant Ferrari un peu cache et un peu bat avec quelques défauts aérodynamiques de jeunesse, alors que Redbull montre un potentiel important mais aussi une certaine nervosité avec les réservoirs vides et alors que Mercedes panse les plaies d’une W14 qui pour l’instant répond très mal à ce que les ingénieurs apportent en piste, la Impression d’Aston Martin. Le meilleur temps de Fernando Alonso n’est qu’un des nombreux signaux reçus comme preuve du remarquable pas en avant réalisé par l’équipe Stroll par rapport à la saison dernière et à ce stade, la principale inconnue est de comprendre l’ampleur de ce saut quantique réalisé par les deux voitures vertes. . Les simulations de la course et du tour le plus rapide ont montré un AM23 générant un haut niveau d’appui d’une manière qui semble aujourd’hui soutenue par une bonne efficacité. La puissance de la Mercedes Power Unit sera vérifiée lors des qualifications, mais les signaux pour Fernando Alonso et Lance Stroll étaient sans équivoque. Prenons, par exemple, la comparaison télémétrique entre le tour le plus rapide d’Alonso, celui de Verstappen et celui de Leclerc.
On peut voir comment dans la deuxième partie du tour, dans toutes les sections « cargo », la voiture d’Alonso s’est bien comportée à la fois en termes de insertion qu’en est-il de vitesse de déplacement. Le courbes lentes et mécanique ils ressemblent encore à un faiblesse, ainsi que le violent transfert de charge latéral dans les virages 6-7, où, cependant, Alonso semble appliquer une technique de conduite « particulière » pour optimiser le passage dans cette section. En fait, on voit que l’Asturien ralentit plus que Verstappen et Leclerc à l’entrée du virage 6, puis aborde tout le tronçon jusqu’au virage 8 pratiquement à plat contrairement à ses rivaux, comme on peut également le voir sur les cartes des accélérateurs.
Aston Martin au moteur, mais attention à la boîte de vitesses Mercedes
Le meilleur temps du premier secteur, malgré des vitesses de pointe inférieures à la concurrence, trahit un niveau d’énergie exprimée par l’unité de puissance déjà plus poussé sur l’Aston Martin, avec Alonso fort en traction (où vous avez besoin de beaucoup de couple bas) et en freinage. Une autre particularité remarquée dans le premier secteur est que l’Aston Martin numéro 14 arrive rapidement autour du nombre maximal de tours puis a tendance à casquette, laissant une certaine vitesse de pointe sur la route. En plus de la configuration aérodynamique, ce manque de vitesse de pointe semble également provenir de la configuration de la boîte de vitessesfourni par Mercedes qui présente, comme nous l’avions vu après les essais, relations très courtesutile en motricité, mais déficient sur le long terme, contrairement à Red Bull et Ferrari pratiquement alignés sur une sorte de terrain d’entente.
Ferrari : un juste équilibre arrive mais pas au plus haut niveau
Pour en venir au chapitre sur l’équipe de Maranello, l’impression du premier jour est que la SF23 continue de s’affirmer comme une voiture avec un équilibre aérodynamique pas facile à trouver. Les travaux combinés des deux sessions, ainsi que les différentes déclarations, semblent trahir une problème général d’équilibre aérodynamique sous résolution, mais qui ne donnera pas à Leclerc et Sainz toutes les armes potentiellement disponibles lors du premier week-end de course. L’aileron arrière plus chargé ne peut pas encore être utilisé (mais il a été question de le revoir sur la piste modifiée de Djeddah) tout comme l’aileron avant semble encore avoir des problèmes de configuration aérodynamique. Pour récupérer la charge et améliorer l’équilibre, les ingénieurs du rouge ont donc abaissé la voiture autant que possible sur l’asphalte, raidissant la suspension et résultant en une voiture plus complexe à conduire mais avec un équilibre nettement amélioré. Cela au moins par Leclercétant donné que Sainz avec ce paramètre, il est apparu en grande difficulté, signe d’une Ferrari qui en tout cas ne semble pas capable d’affronter le Sakhir « à pied ». L’équipe de Maranello continue d’être celle qui a le plus présente des inconnues sur le potentiel réel. Par exemple, on s’attend à un saut de puissance important pour la qualification, mais avec le dû mises en garde: l’arrière, pourtant déchargé aérodynamiquement et raide au niveau des suspensions, pourrait mettre les pneus en crise en cas d’un couple de sortie excessif. Dans les longues courses, les rouges ont montré un dégradation plus faible par rapport aux simulations vues lors des tests, malgré le roulage avec la gomme tendre.
Notez l’habitude constance folle de Verstappen avec seulement 0,234 s d’écart-type, toujours le plus petit du lot. Alonso est deuxième en termes de moyenne tandis que Leclerc et Sainz semblent être un pas derrière. Cependant, il faut dire que la bonne progression de Leclerc lors de la simulation montre qu’au moins une partie du potentiel des rouges suite aux changements de set-up après les essais pourrait commencer à émerger dès dimanche.
Mercedes en difficulté
Pour l’instant Mercedes est en difficulté, il ne semble pas qu’elle puisse briller particulièrement ou avoir beaucoup caché, absolument pour le moment derrière même Astonpar ailleurs Ferrari e Redbull. Le W14 est venu avec un robe aérodynamique modifiée par rapport aux essais, mais les performances et surtout les impressions de conduite, conjuguées aux chronos, ne semblent pas s’être beaucoup améliorées pour l’instant. En tout cas le grande impatience pour la première qualification de la saison, c’est sur le point de se terminer. Enfin il y en aura un première échelle de valeurs objectivesen se souvenant cependant que non seulement c’est la première course de la saison, mais que des tests et des premières courses sont organisés sur la même pisteavec tout le fausses indications qu’une telle limitation peut entraîner.