Troisième saison de Café de Pino Allievi, le balado de FormulaPassion.it pour ouvrir la journée des fans immédiatement après un week-end de course, mais pas seulement.
Le sujet de cet épisode est le commentaire du Grand Prix du Mexique, remporté par Max Verstappen avant de Lewis Hamilton et Sergio Pérez. Une course avec peu d’histoire, dominée par le poleman Verstappen dès le premier virage. Le pilote néerlandais a une fois de plus fait preuve d’un pilotage très rapide combiné à une excellente gestion des pneus qui lui a permis de ne faire qu’un seul arrêt pour changer de pneus. Verstappen a ainsi atteint le record de part de quatorze victoires en une saison.
La Ferrari tout au long du week-end, elle est apparue en grande difficulté. Le SF-75 n’a jamais eu assez de vitesse et avec des problèmes d’entrée de virage évidents. Finalement une cinquième place avec Sainz et un sixième avec Leclerc c’est tout ce qui passe devant le couvent. Compte tenu de l’écart d’environ une minute comblé par les Ferrari, il est probable que les rouges aient couru avec une cartographie moteur plutôt conservatrice afin de ne pas se heurter à des pannes causées par les problèmes d’altitude déjà survenus en Autriche cette année.
la mercedes pour la deuxième course consécutive, elle est apparue très compétitive et le seul antagoniste de Red Bull. Hamilton il a été l’auteur d’une course très solide, prenant une deuxième place bien méritée à quinze secondes du vainqueur. Russell a eu des difficultés évidentes une fois qu’il est passé aux pneus durs, mais a quand même terminé quatrième, perdant deux places dès le départ.
Ferrari reste deuxième au classement des constructeurs, à quarante points de Mercedes. Une marge qui, à deux courses de la fin, devrait permettre au Cavallino de conserver la maigre consolation de la place d’honneur.