La réunion d’hier était la première au cours de laquelle Nikolas Tombazis, directeur des monoplaces de la FIA, représentait la Fédération dans les relations avec les équipes
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Après les nombreuses polémiques qui l’avaient investi ces dernières semaines, qui avaient atteint leur paroxysme sur l’ingérence dans l’éventuelle vente de la Formule 1, Mohamed Ben Sulayem Le 8 février dernier, il avait envoyé une lettre aux équipes de Formule 1 expliquant son intention de prendre du recul sur la gestion de la catégorie. Le manager arabe avait exprimé sa volonté de retirer du contrôle direct sur les questions quotidiennes, s’arrogeant le droit d’intervenir uniquement sur les questions stratégiques relatives à l’avenir. Ces dernières semaines, même au niveau de la communication, il y a eu une absence de déclarations de Ben Sulayem, à l’exception d’un avis sur l’éventuel retour au calendrier du Grand Prix d’Inde.
Il y avait donc curiosité de comprendre comment la rencontre des Commission F1 d’hier, mardi 21 février, au cours de laquelle des décisions importantes ont été prises concernant la saison qui s’ouvre à nous et qui débutera à Bahreïn le week-end du 5 mars. Dans le communiqué de presse diffusé aux médias, qui rapportait ce qui s’était passé lors de la réunion tenue à Londres, il était précisé que la réunion était dirigée conjointement par le président et chef de la direction de la Formule 1 Stefano Domenicali et le nouveau directeur des monoplaces FIA Nikolas Tombazis.
Mohammed Ben Sulayem était donc absent d’une réunion clé comme celle de la Commission F1, réalisant ainsi ce qui avait été annoncé aux équipes dans la lettre qui leur a été envoyée ces dernières semaines. Tombazis, ingénieur de longue date en Formule 1, qui était déjà dans le paddock depuis les années 1990, a donc commencé son activité comme référent de la Fédération pour les équipes.