Dans les présentations du nouveau directeur et directeur général de l’équipe Ferrari, Frederic Vasseur, il a été souligné de toutes parts que le transalpin est un fervent partisan de hiérarchies parmi les coureurs de l’équipe. Résultats 2022 en main et tenant compte des connaissances antérieures avec Charles Leclerc, il est naturel de penser au Monégasque comme une future figure de référence de l’écurie italienne. Une approche qui irait à contre-courant de ce que revendiquait Mattia Binotto dans son expérience au sommet du Cavallino, lorsqu’il garantissait des conditions égales à Vettel et Sainz en coexistence avec le pilote de Monte-Carlo. Ce scénario, comme prévu, a incité la presse espagnole à exhorter Sainz : «Il doit commencer à penser davantage à lui-mêmes’il ne veut pas se dissoudre comme un morceau de sucre dans Ferrari »a-t-il souligné Marqueajouter: « Avec les adieux de Binotto, le temps de l’adaptation est terminé. Ce sera une sorte de funambule sans filet de sécurité, et la préparation mentale sera donc essentielle. Il est appelé à redresser la situation dès la première séance d’essais et surtout lors des premières séances qualificatives de l’année. Carlos devra être moins bon, penser à lui-même, sinon il sera obligé d’endosser le rôle de copilote ».
Les Français de L’équipe ils ont plutôt mis l’accent sur le «fortes personnalités » des deux pilotes Leclerc et Sainz, mais aussi sur les bons offices que Vasseur aurait auprès des proches du joueur madrilène : «On peut imaginer que le « clan Sainz », en particulier le père influent, n’est pas si heureux de l’arrivée du Français à Maranello.observe le journaliste Frédéric Ferret, poursuivant sur un ton rassurant : « Maman les relations entre le « clan » espagnol et Vasseur sont excellentes. Les premiers contacts sont nés en 2016 à l’époque de Renault, lorsque la direction de l’écurie française a préféré le pilote payant Palmer, à Sainz qui l’a remplacé un an plus tard, après avoir quitté le programme Red Bull ».