Le un verre, avec tous les soi-disant « plastiques » transparents, est l’un des principaux éléments qui font partie de tout véhicule. Aux yeux de tous les sauts de pare-brise, qui au fil des années a fait l’objet de nombreuses évolutions et mises à jour qui ont augmenté sa résistance et par conséquent la sécurité tout d’abord pour le conducteur mais aussi pour tous les autres occupants du véhicule. Les progrès de ce composant fondamental de chaque véhicule affectent également ses propres entretien, souvent nécessaire car l’endommagement du pare-brise n’est malheureusement pas extraordinaire.
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Pour réfléchir aux progrès accomplis au fil des ans, il suffit de comparer les anciens pare-brise avec les actuels : au début ils étaient faits avec le même verre que nos fenêtres, et donc en cas de casse les éclats étaient tranchants et tranchants comme des rasoirs, tandis que ceux d’aujourd’hui, bien que toujours en verre, sont faits avec deux couches de verre feuille divisée par un film plastique, qui en parfaite adhérence devient invisible et essentiel pour notre sécurité car en cas de collision avec quelque chose, il agit comme une colle et les éclats de verre restent collés même s’ils sont fracturés avec le design typique en forme de toile d’araignée. Je suis diverse le cause qui entraînent des dommages au pare-brise, en plus des inévitables actes de vandalisme : pensons aux accidents, ou aux températures extrêmes, ou encore aux collisions avec des objets suspendus.
Trois circonstances bien différentes, comme nous le rappellent aussi les précieux conseils prodigués par RéseauRéparation, une réalité émergente dans le monde des ateliers automobiles. Lorsqu’il s’agit de cas d’accident, notre pare-brise est conçu pour résister à la percée, bien sûr dans certaines limites et certains cas, il sera donc endommagé sans tirer d’éclats d’obus tranchants sur les occupants du véhicule. Quant aux changements brusques de température, en revanche, des micro-fractures peuvent se créer du fait de la dilatation ou du retrait rapide que les joints en caoutchouc sont incapables de limiter ou d’accompagner : cela se produit généralement davantage au niveau de la lunette arrière. La dernière circonstance concerne la objets suspendus, pour donner un exemple, les cailloux lâches qui ont heurté notre pare-brise : dans ce cas il faut dire que l’étendue des dégâts varie en fonction de la vitesse d’impact, et il faut préciser que si celle-ci est légère, des entreprises spécialisées peuvent être utilisé qui en peu de temps et avec un coût décidément négligeable par rapport au coût d’un nouveau verre sont capables de réparer les dommages avec d’excellents résultats.
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Un autre élément dans lequel le verre est une partie fondamentale sont i faire. Dans ce cas également, les techniques de conception ont beaucoup évolué au fil des ans : alors qu’autrefois l’éclairage était directement intégré dans le cadre, nous avons aujourd’hui un seul bloc qui s’insère dans des sections de logement spéciales, et ce n’est pas un hasard si nous devons composer avec avec des défauts non réparables le phare est changé en totalité et pas simplement en partie. Rappelons que chaque phare est composé d’un coque extérieure de protection, qui n’est pas en verre mais dans un polymère que l’on appelle généralement plastique et qui a pour but de protéger la lentille et la lampe en cas d’événements atmosphériques ou de chocs. Avec le temps cependant, ce polymère a tendance à jaunir, diminuant fortement le pouvoir éclairant de notre voiture : dans ce cas il n’est pas nécessaire de penser à un remplacement, puisqu’un peu d’huile de coude, une éponge de cuisine et quelques produits spécifiques pour restaurer le phare à sa transparence d’origine.
Remarques finales sur les miroirs, à l’intérieur et à l’extérieur de l’habitacle. Comme il va de soi, ces derniers sont plus sujets aux chocs et aux avaries. Si l’un de ces scénarios se présente, il y a deux solutions : recourir à la pièce détachée chez le constructeur automobile de notre véhicule, qui vendra un tout nouveau rétroviseur complet avec motorisation électrique (et donc il y a aussi le passage obligatoire à l’atelier à effectuer sur place), ou si la casquette n’a pas subi de dommages aller dans une casse pour voir pour ne récupérer que la partie miroir.