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F1 2023: chi rischia di più
Opinioni

F1 2023 : qui risque le plus

Votoh.comBy Votoh.commars 1, 2023
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Premièrement : ne les prenez pas. C’est un ancien dicton du football, si cher au légendaire Jean Trapattoni, qui continue à montrer la voie parce qu’elle exprime la sagesse et l’ironie. Mais est-ce aussi valable pour la Formule 1 ? Bien sûr. Dans le sens où il y a ceux qui gagnent et il y a aussi ceux qui – en perdant – risquent gros : le visage, la réputation, l’image, dans certains cas même une carrière. Et si tout le monde, en ce moment, fait des pronostics sur qui gagnera dimanche à Bahreïn ou qui remportera le championnat du monde le plus long de l’histoire, on aime plutôt regarder le revers de la médaille. Un jeu, bien sûr, à celui qui risque le plus dans le championnat du monde qui est sur le point de commencer. Mais je joue jusqu’à un certain point. Surtout pour les personnes concernées. Et voici huit noms sur des charbons ardents, par ordre alphabétique strict.

Luca de meo
Un manager hors pair et au-dessus de la moyenne, qui a fait la fortune de toutes les entreprises (ou groupes) dans lesquelles il a travaillé. De Toyota à Fiat, Alfa Romeo, Volkswagen, Audi, Seat et maintenant Renault. Une ressource que le monde nous envie. De Meo a toujours aimé la course, à commencer par les rallyes. Dès son arrivée chez Renault, il a tout de suite voulu mettre la main sur l’écurie de F.1, reproduisant en quelque sorte ce qu’un de ses « maîtres », Sergio Marchionne, avait fait chez Ferrari. Certains bons choix, certains douteux. Mais il est maintenant temps pour Alpine de fournir des résultats et de ne pas rouler constamment en milieu de peloton. Il y a ses hommes à la barre, ennuis si les résultats n’arrivent pas.

Elkann & Vigna
John Elkann et Benedetto Vigna ont décidé de se passer de Mattia Binotto après avoir conquis la deuxième place du championnat du monde entre pilotes et constructeurs. Inutile de revenir sur une question déjà passée, mais l’objectif de remporter le titre en 2023 n’est que trop évident : le top management de Ferrari – et pas seulement eux – souhaite que le championnat du monde revienne immédiatement à Maranello après une jeûne absurde qui dure depuis 2007. Le choix de Frédéric Vasseur va dans ce sens. La discontinuité a été privilégiée : sera-t-elle payante ?

Lewis Hamilton
Trente-huit ans et sept titres mondiaux. Plus 103 victoires, ce qui en fait le plus grand de tous les temps. Ça ne lui suffit pas, il aimerait un autre titre, s’estimant encore super-compétitif au point de prolonger indéfiniment sa carrière. Mais c’est une chose d’avoir une voiture gagnante, c’est une chose de marcher péniblement en risquant deux fois plus que les moments en or. Sa réputation n’est pas en jeu, à Dieu ne plaise, mais les détracteurs sont prêts à le frapper. Surtout si Russell se tenait à nouveau devant lui comme cela s’est produit en 2022.

Charles Leclerc
Est-ce lui qui a inspiré le départ de Binotto en favorisant l’arrivée de Vasseur ? Bien sûr que non. Mais quelqu’un l’a pensé et le pense encore, la F1 n’est pas une roseraie. Alors maintenant, ayant à ses côtés le team manager qui le pousse depuis qu’il est enfant, il doit donner encore plus. Il a de grosses épaules et l’intelligence pour surmonter ces méchancetés, mais il a aussi le besoin personnel de jouer enfin une saison de premier plan du début à la fin, démontrant son talent indéniable au monde. Et cela lui met la pression, malgré les bavardages sur le premier et le deuxième pilote de l’équipe. Leclerc doit mener le championnat. Indiquer. Peut. Sinon, il sera le premier mécontent.

Olivier Mintzlaff
Qui est ce Mintzlaff ? C’est le manager de Leipzig, né en 1975, qui a la responsabilité de toutes les activités sportives et marketing de Red Bull sur ses épaules, après le décès de Dieter Mateschitz. Et c’est donc à lui de faire en sorte que l’équipe de F1 puisse également prospérer et gagner comme elle l’a fait jusqu’à présent. Quelque chose de plus compliqué que par le passé, cependant, avec l’ouverture de la division automobile. Mais comment va-t-il se comporter à distance avec l’équipe championne du monde ? Comment Mintzlaff se rapportera-t-il à Horner et Marko, qui est un expert du football et non de la course ? Une responsabilité qui l’expose pas mal, si l’on considère que le fils de Mateschitz, Mark (30 ans), détenteur de 48% des parts, a déclaré que, bien qu’il aime beaucoup la F1, il laissera la responsabilité opérationnelle de tout à ses managers. Le silencieux Mintzlaff se montrera-t-il à la hauteur de la tâche ?

Fred Vasseur
Il ne s’en cache pas, dès son arrivée à Maranello : « Ferrari doit viser le championnat du monde, c’est pour ça que je suis venu ici ». Facile à dire, mais maintenant la partie difficile commence, avec un « tribunal » prêt à le juger composé non seulement des amis de Mattia Binotto mais aussi des cadres de Maranello qui l’ont embauché, du clan F1 en général, de l’opinion publique, de millions de fans. qui en attend tant. Une pression énorme dont d’autres sont passés. Et tout le monde n’a pas tenu le coup. Vasseur, qui est une personne de bon sens, a une chance de vivre mais ne peut pas se tromper. Les marges d’erreur sont proches de zéro. Il peut en sortir comme un sauveur du pays ou comme un mauvais choix. Ceux qui doivent l’évaluer ont déjà un nom de réserve, disent-ils.

C’est Wolff
Faire échouer la voiture deux années de suite, ce n’est pas comme Mercedes. Et ce n’est même pas de Toto Wolff, le très bon manager des 8 championnats du monde constructeurs (d’affilée) et des 7 titres pilotes (d’affilée). Interroger un personnage comme ça, c’est de la folie, mais les gens ont la mémoire courte et regardent toujours ce qui s’est passé lors de la dernière course. Toto est passé d’un président à l’autre et aussi d’un actionnariat à l’autre sans sourciller. Pendant ce temps, il a fait de la politique F1 en manœuvrant dans les coulisses ou même ouvertement. Cependant, ces dernières années, il a perdu de nombreux techniciens précieux qui sont venus renforcer ses rivaux directs. Une faute qui pourrait lui être impitoyablement reprochée, si 2023 devait s’avérer être la faillite.

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