Préoccupations partielles
Une semaine après la catastrophe des inondations en Émilie-Romagne, qui a entraîné l’annulation de l’épreuve d’Imola, la Formule 1 est prête à se remettre sur les rails ce week-end en Principauté de Monaco, avec le rendez-vous qui coïncide avec la sixième manche du championnat du monde. Un week-end qui se déroulera en pensant à ce qui s’est passé à Imola ces derniers jours, mais qui, selon toute vraisemblance, ne sera pas exempt de pluie ou même oragesdu moins en liaison avec la essais libres et qualifications.
Vendredi et samedi pluvieux, GP ensoleillé
C’est ce que la météo rapporte par www.accuweather.comavec les essais libres vendredi et la lutte pour la pole position qui se déroulera vraisemblablement dans des conditions de mauvais temps. Au cours de la première journée, en effet, la probabilité de précipitation dépasse légèrement 50%, avec la risque d’orages estimé à environ 30 %. Pire encore le lendemain, notamment en ce qui concerne la pluie, avec des chances qui avoisinent les 70 %. Tout à fait différente cependant, la situation concernant la nous sommes: dimanche 28 mai, en effet, il y a de très fortes chances d’assister au GP dans des conditions de temps clair et ensoleillé.
F1 2023, Grand Prix de Monaco : la météo
vendredi 26 mai
Ciel : orages probables
Risque de précipitations : 55 % (33 % d’orages)
Température max/min : 21/26°C
Vent : E 11 km/h, rafales à 24 km/h
samedi 27 mai
Ciel : orages probables
Risque de précipitations : 66 % (35 % d’orages)
Température max/min : 22/29°C
Vent : SS1 11 km/h, rafales à 26 km/h
dimanche 28 mai
Ciel : ensoleillé
Risque de précipitations : 4 %
Température max/min : 21/27°C
Vent : ENE 9 km/h, rafales à 33 km/h
Alors l’année dernière
Des pronostics qui pourraient donc réserver un tout autre scénario par rapport à celui vécu la saison dernière en Principauté, lorsque les essais libres et les qualifications se déroulaient dans des conditions de piste sèche. Au contraire, juste avant le départ de la course, une pluie d’une certaine intensité est tombée, de nature à obliger la Direction de Course à deux reports de départ. La course est alors lancée définitivement une heure plus tard que prévutant pour de mauvaises conditions météorologiques que pour une défaillance du système de feux de circulation.