Une Ferrari comme celle-ci n’a jamais existé auparavant. Une phrase qui peut sembler exagérée, exagérée et qui, au contraire, capture au mieux la réalité : la Ferrari 296 GTS, le protagoniste de notre essai routier d’aujourd’hui, est en fait la première araignée du cheval cabré à monter le V6 en position arrière centrale. A cela s’ajoute le fait que ce six cylindres, que l’on a rencontré sur la version coupé GTB, est lui aussi électrifié, avec un schéma hybride rechargeable pour une puissance totale de 830 ch, le tout à savourer à l’air libre .
Style, comment la Ferrari 296 GTS change
La Ferrari 296 GTS se décline donc dans la version spider de la berlinette avec le moteur six cylindres qui représente l’une des plus grandes innovations de la gamme Cheval Cabré ces dernières années. Par rapport à la version coupé, la variante plein air apporte quelques changements stylistiques et aérodynamiques, comme par exemple la présence de renflements spécifiques dans la queue qui permettent justifier et renforcer la présence du flying bridge, la structure qui se détache autour de la lunette arrière. Dans le cas de la GTS, le pare-brise peut être relevé et abaissé même avec le toit fermé afin de mieux entendre le son du V6 hybride.
Intérieurs
L’habitacle reflète l’âme palpitante de cette voiture, avec une construction qui met l’accent sur la matérialité et les lignes nettes. Derrière le volant, on retrouve l’instrumentation numérique complète à partir de laquelle il est possible de gérer la plupart des fonctions, avec une intégration avec Apple CarPlay et Android Auto qui peuvent être positionnés dans les deux boîtiers qui se détachent de part et d’autre du compteur kilométrique virtuel qui domine le position centrale. Grâce au pad capacitif sur le raga droit, vous pouvez gérer la configuration du cluster, en positionnant au mieux les informations souhaitées. Les finitions, de la belle sellerie italienne, sont agrémentés de matières techniques nobles pour les composants fonctionnels. Sur la 296 GTS, les volets aérodynamiques sont intégrés dans la structure des garnitures arrière pour augmenter le confort lors de la conduite en plein air. Le panneau de porte évolue en continuité chromatique et matérielle avec la planche de bord. Le tunnel intègre le sélecteur de vitesse avec le signe dièse emblématique et le logement de la clé. Pour la 296 GTS, les sièges ont été conçus avec un design spécifique à diapason, obtenu grâce à l’utilisation de conduits contrastés, en cohérence esthétique avec la bordure autour de l’habitacle.
Le son optimisé du V6
La nécessité de trouver un espace pour le toit dur a conduit les techniciens de Maranello à étudier comment le son du V6 pouvait changer, également en raison de la réduction du compartiment moteur. Ainsi, bien que le six cylindres soit le même que celui de la 296 GTB, dans ce cas le chant de ce moteur se propage d’une manière différente : les ingénieurs Cavallino ont ainsi travaillé à optimiser la géométrie des conduits d’admission et d’échappement pour renforcer encore les sonorités de le V6 pour que celui qui est au volant et son passager puissent en profiter pleinement.
Comment est la Ferrari 296 GTS, l’expérience de conduite
Ainsi la Ferrari 296 GTS est la première spider équipée de le nouveau V6 hybride développé à Maranello, avec son architecture hybride rechargeable capable de délivrer une puissance totale de 830 ch à 8 000 tr/min et 740 Nm de couple maximal à 6 250 tr/min avec la performance qui parlent d’un 0 à 100 km/h abattu en seulement 2,9 secondes et d’une vitesse de pointe dépassant les 330 km/h. L’empattement court et le centre de gravité bas, grâce également à la position du moteur, ont donné à cette voiture une grande agilité, avec une précision millimétrique de la direction et des trajectoires qui semblent avoir été conçues presque indépendamment par cette supercar capable de surprendre à chaque instant. poussée avec le pied sur la pédale d’accélérateur. En fait, il faut aborder la Ferrari 296 GTS progressivement, sans s’emballer car c’est un modèle capable de faire des choses incroyables comme le coupé twin que nous avons eu l’occasion de déchaîner sur circuit. Entrant dans les détails du groupe motopropulseur électrifié de ce modèle, le six cylindres 2.9 turbo délivre 663 ch et est combiné avec un groupe électrique à flux axial de 122 kW et une batterie haute tension de 7,45 kWh qui garantit une autonomie électrique complète de 25 km. Le tout associé à la boîte de vitesses F1 à double embrayage à 8 rapports utilisables de manière séquentielle via les généreuses palettes au volant.
Émotions avec un toit ouvert (ou fermé)
Sur le mélange des collines bolognaises cependant, le GTS est également agréable à des vitesses de croisière régulières, avec la possibilité de demander RHT en seulement 14 secondes même en roulant jusqu’à une vitesse maximale de 45 km/h. De cette façon, le son du six cylindres devient encore plus marqué et engageant, avec une plénitude digne du surnom de petit V12 que les techniciens de Maranello ont donné à ce petit chef-d’œuvre, pour ainsi dire, sorti de l’usine via Abetone Inferiore . Légèreté, rapidité et implication donc, avec la Ferrari 296 GTS qui ne pèse que 70 kg de plus que la GTB, une différence presque imperceptible pour un spider à savourer. Au nom du plaisir de conduire et de cette émotion que seul un tel rugissement, fût-il électrifié, peut transmettre.
Quand la Ferrari 296 GTS coûte, il y a aussi l’Assetto Fiorano
Des différences minimes mais substantielles donc pour la Ferrari 296 GTS qui trouve une place idéale dans la gamme de la maison Maranello offrant ainsi une déclinaison avec la RHT à la nouvelle berlinette Cavallino qui grâce à son empattement court et à son savante étude aérodynamique mais surtout à un moteur qui joue des mélodies enthousiasmantes, sait amuser dans tout type de situation, avec ou sans toit ouvert. Nous concluons avec le prix: la Ferrari 296 GTS a une liste de prix qui commence à 320 000 euros et dans ce cas aussi, il est possible de choisir la version Assetto Fiorano qui, en plus d’une livrée dédiée, offre une série d’éléments spécialement conçus pour améliorer la conduite sportive même sur piste jours.