Ferrari De race c’est enfin la réalité. La Le premier SUV de Maranello est née dans le but de poursuivre la beauté et l’excellence, comme le soulignent les dirigeants du Cheval Cabré, se taillant une place unique dans le panorama des modèles à hautes roues. En fait, cette voiture comble l’objectif de créer un nouveau segment, offrant une voiture polyvalente qui peut parfaitement combiner confort et performance. Le Style Center dirigé par Flavio Manzoni a travaillé précisément dans ce sens, comme le souligne le même responsable du design de Maranello en marge de la présentation de la Purosangue, avec un SUV capable de générer cet « effet waouh » digne de tout Cheval cabré.
« C’est la première Ferrari avec ces particularités, – Manzoni commence – presque une sorte de berlinette surélevée. Lla première inspiration pour nous est venue de l’aérodynamique. Nous voulions le combiner avec de belles formes qui étaient artistiques en même temps. Les surfaces sont en effet sculptées, il y a harmonie entre les volumes. Nous avons recherché un équilibre entre une silhouette performante et une structure divisée en deux volumes avec le supérieur flottant. » Le Centro Stile a en effet joué une fois de plus précisément sur la soustraction de ce dernier, avec le langage stylistique qui a donné vie à une voiture idéalement divisée en deux niveaux : en bas la partie la plus technique tandis qu’en haut se détachent les lignes sinueuses, avec les passages de roue voluptueux et cet avant élégant et en même temps imposant, avec la signature optique subtile et distinctive qui embrasse les côtés du nez en les projetant vers les côtés. Ici nous retrouvons solutions aérodynamiques pour les flux d’air qui atteignent directement les côtés de la voiture, s’écoulant dans les côtés hauts de la voiture. Le capot avec ses nervures et ses flancs sont ainsi mis en continuité même à travers les surfaces suspendues des ailes. Musclé mais aussi léger, avec le volume supérieur qui semble presque flotter sur les passages de roue. Restant toujours à l’avant, la calandre classique Ferrari Purosangue laisse place à un dièdre qui reste suspendu en partie basse. Sur les côtés du splitter se trouvent deux grandes prises d’air et un élément central qui permet au V12 de se refroidir.
« Nous voulions créer une voiture élégante – poursuit Manzoni – alliant élégance et précision des formes pouvant interpréter au mieux les raisons techniques qui seront poursuivies. Nous avons chassé cet effet wow. » En continuant dans le langage stylistique des analystes, on remarque les flancs sculptés par le deux lignes tendues qui prolongent les aérations et le seuil se rejoignent dans une queue qui montre une signature lumineuse avec un double élément semi-circulaire, similaire à celui que l’on voit sur la Ferrari Roma, relié par un espace horizontal qui les intègre et les relie idéalement. Ci-dessous, vous pouvez voir deux prises d’air obtenues en vidant avec le porte-à-faux du hayon qui accompagne jusqu’au diffuseur qui abrite les deux paires de bornes du système d’échappement. Sur les grands passages de roue arrière, on retrouve également une petite lunette arrière avec un becquet arrière qui représente le prolongement des minces montants avant. Ferrari Purosangue donne l’impression d’être une véritable sculpture, née d’une recherche aérodynamique qui la fait paraître si légère même si ce n’est pas une super voiture de sport.
Manzoni raconte ensuite aussi la genèse des intérieurs et leur agencement si particulier : « L’habitacle est comme un salon, avec des « portes d’accueil » accueillant ceux qui entrent dans la voiture. Le toit aide à donner un effet panoramique. Il y a beaucoup d’espace à l’arrière tandis que la symétrie de la construction se retrouve dans le double cockpit conçu pour faire participer le passager. L’utilisation des matériaux est raffinée, avec de la fibre de carbone aux textures métalliques qui privilégie le raffinement et la modernité. » Le premier choix important concernait l’ouverture des portes pliantes qui facilitent l’accès même aux deux sièges arrière et ouvrent le regard sur un habitacle qui offre beaucoup d’espace caractérisé par le raffinement et la modernité, avec un luxe sophistiqué qui épouse la tradition. du granturismo de Maranello.
Il y a une symétrie entre le conducteur et le passager, avec instrumentation entièrement numérique derrière le volant qui trouve son équivalent de l’autre côté grâce à un écran de 10,2 » à travers lequel il est possible de participer presque directement à l’expérience de conduite. L’interface et le réglage du tableau de bord numérique sont inspirés de la SF90 Stradale. Pour la première fois, il y a donc quatre sièges indépendants et réglables, avec les sièges arrière chauffants et inclinables et inclinables pour créer un seul plan avec le compartiment arrière avec le coffre qui dispose normalement d’une capacité de charge de 473 litres. Le choix des revêtements ensuite, cela montre l’attention portée à la durabilité du Cavallino, avec les matériaux utilisés pour la version de lancement qui sont à 85% respectueux de l’environnement.