La Ferrari De race est né dans le but de poursuivre la beauté et l’excellence, comme le soulignent les dirigeants du Cheval Cabré, se taillant une place unique dans le panorama des modèles à hautes roues. En fait, cette voiture vise à créer un nouveau segment, en proposant une voiture polyvalente qui peut parfaitement combiner confort et performance. Le Style Center dirigé par Flavio Manzoni a travaillé précisément dans ce sens, comme l’a souligné le responsable du design de Maranello lui-même il y a quelques mois en marge de la présentation du premier SUV du Cheval Cabré, avec un modèle capable de générer cet « effet wow » digne de chaque voiture de Maranello.
Conception gagnante
« C’est la première Ferrari avec ces particularités, – a expliqué Manzoni – presque une sorte de berlinette surélevée. La première inspiration pour nous est venue de l’aérodynamique. Nous voulions le combiner de la meilleure façon possible avec de belles formes, qui sont en même temps artistiques. En effet, les surfaces sont sculptées, il y a harmonie entre les volumes. Nous avons recherché un équilibre entre une silhouette performante et une structure divisée en deux volumes avec le supérieur flottant ». Le Centro Stile a en effet joué encore une fois précisément sur la suppression de ce dernier, avec le langage stylistique qui a donné vie à une voiture idéalement divisée en deux niveaux : la partie plus technique en bas, tandis que les lignes sinueuses se détachent plus haut, avec les passages de roue voluptueux et cette partie avant élégante et en même temps imposante, avec la signature optique subtile et distinctive qui embrasse les côtés du museau en les projetant vers les côtés. Ici nous trouvons solutions aérodynamiques pour les flux d’air qui atteignent directement les côtés de la voiture, s’écoulant vers les côtés supérieurs de la voiture. Le capot avec ses nervures et les flancs sont ainsi mis en continuité également par les surfaces suspendues des ailes. Musclé mais aussi léger, avec le volume supérieur qui semble presque flotter sur les passages de roue. Restant toujours à l’avant, la calandre classique Ferrari Purosangue laisse place à un dièdre qui reste suspendu en partie basse. Sur les côtés du splitter se détachent deux grandes prises d’air et un élément central qui permet de refroidir le V12.
Élégance et précision
« Nous voulions créer une voiture élégante – a poursuivi Manzoni – alliant élégance et précision des formes pouvant interpréter au mieux les raisons techniques qui seront poursuivies. Nous avons chassé cet effet wow ». Poursuivant l’analyse du langage stylistique, on note les flancs sculptés par deux lignes tendues qui prolongent les aérations et le seuil se fondent dans une queue qui affiche une signature lumineuse avec un double élément semi-circulaire, d’une manière similaire à ce qui a été vu sur la Ferrari Roma, rejoint par un joint horizontal qui les intègre et les relie idéalement. Ci-dessous, vous pouvez voir deux entrées d’air obtenues en se vidant avec le porte-à-faux du hayon qui accompagne jusqu’au diffuseur qui abrite les deux paires de sorties d’échappement du système d’échappement. Sur les grands passages de roue arrière, on retrouve également une petite lunette arrière avec un becquet arrière qui représente le prolongement des minces montants avant. Ferrari Purosangue donne l’impression d’être une véritable sculpture, née d’une recherche aérodynamique qui la fait paraître si légère même si ce n’est pas une super voiture de sport.
La recette intérieure
Manzoni a ensuite également raconté la genèse des intérieurs et leur agencement si particulier : « L’habitacle est comme un salon, avec des « portes d’accueil » accueillant ceux qui entrent dans la voiture. Le toit aide à donner un effet panoramique. Il y a beaucoup d’espace à l’arrière tandis que la symétrie de la construction se reflète dans le double cockpit à l’avant, conçu pour impliquer le passager. L’utilisation des matériaux est raffinée, avec de la fibre de carbone aux textures métalliques qui soulignent le raffinement et la modernité. Le premier choix important concernait précisément l’ouverture des portes pliantes qui facilitent l’entrée même pour les deux sièges arrière et ouvrent le regard sur un habitacle qui offre beaucoup d’espace caractérisé par le raffinement et la modernité, avec un luxe sophistiqué qui marie la tradition de la granturismo de Maranello.
Technologie de pointe
Il y a une symétrie entre le conducteur et le passager, avec instrumentation entièrement numérique derrière le volant qui trouve son homologue de l’autre côté grâce à un écran de 10,2 » à travers lequel il est possible de participer directement à l’expérience de conduite. L’interface et le réglage du tableau de bord numérique sont inspirés de la SF90 Stradale. Pour la première fois, il y a donc quatre sièges indépendants et réglables, avec les sièges arrière chauffants et inclinables et inclinables pour créer un seul plan avec le compartiment arrière avec le coffre qui dispose normalement d’une capacité de charge de 473 litres. Le choix des revêtements puis il montre l’attention du Cavallino à la durabilité, avec les matériaux utilisés pour la version de lancement qui sont à 85 % respectueux de l’environnement.