Non seulement Ferrari a introduit de nouveaux composants dès le deuxième week-end de l’année ; pas de pénalité pour le Mexicain de Red Bull, déjà à court de ‘bonus’ – par MATTEO SENATORE
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Pas seulement des Ferrari
Nous n’en sommes qu’au deuxième week-end de la saison, mais les conversations en cours dans le paddock ressemblent à la fin du championnat, alors que la plupart des équipes se retrouvent souvent confrontées à de nombreuses pénalités à purger sur la grille. Nous avons déjà écrit en détail sur le situation compliquée vécue chez Ferrari, notamment avec la voiture de Charles Leclerc. Le Monégasque de Djeddah devra essuyer une chute de 10 places au départ de la course de dimanche en raison de la mise en place de la troisième unité de contrôle de la saison. Le #16 du Cheval Cabré reste le seul cavalier pénalisé pour le moment, mais même chez Red Bull, la situation ne semble pas très rose.
Batterie, ECU et boîte de vitesses
Le communiqué de presse officiel publié comme d’habitude par la FIA a en effet révélé que aussi la situation de Sergio Perez, poleman l’année dernière rien qu’en Arabie Saoudite, ça commence à être « fragile ». En effet, le Mexicain de Red Bull a remplacement de la batterie, de l’unité de commande et de la boîte de vitesses. Pour les deux premiers éléments, comme les fans de Ferrari l’ont très bien découvert ces dernières semaines, la limite saisonnière est donc déjà atteinte. Évidemment, Perez pourra remonter les premières batteries et calculateurs retirés aujourd’hui de la RB19 lors d’autres week-ends de course, sans aucune pénalité. Cependant, ces interventions nous laissent imaginer que la question de la fiabilité est également sous surveillance autour de Milton Keynes.