Première et deuxième place avec Valtteri Bottas et Lewis Hamilton avec Mercedes, huitième et dixième pour Sebastian Vettel et Lance Stroll avec Aston Martin : ce fut un vendredi positif pour ces deux équipes motorisées Mercedes, avec l’équipe Brackley rapide sur le tour lancé et cohérente sur le rythme de course et l’ancien Racing Point pour le moment avec deux pilotes virtuellement en Q3, un résultat qui serait accueilli avec satisfaction par l’équipe de Lawrence Stroll.
A la veille de Red Bull, on s’attendait à ce qu’il mène au Hungaroring, mais lors de la deuxième séance d’essais libres, ce n’était pas le cas. La journaliste Pierre Windsor sur ta chaîne Youtube il a expliqué qu’il pouvait s’agir d’une question d’installation, en faveur de monoplaces construites selon une philosophie à faible inclinaison comme dans le cas de la Mercedes W12 et de l’Aston Martin AMR21. « C’est une configuration plus facile à affiner et moins sujette à des changements de comportement en fonction de la composition des pneus montés. – Windsor a expliqué – Red Bull a peut-être la voiture la plus rapide, mais il s’avère qu’elle ne l’est que lorsque les réglages sont parfaitement adaptés. Mercedes, en revanche, a une base plus stable ».
Max Verstappen en fait, lors des essais libres, il s’est plaint d’un sous-virage RB16-B avec des pneus tendres et d’un survirage avec des pneus médium. Un comportement aux antipodes donc basé sur la composition des pneumatiques montés : « Une voiture à forte inclinaison comme Red Bull est plus sensible à cette situation et l’appui très élevé de Red Bull génère beaucoup de chaleur sur les pneus. – Windsor ajouté – les nouveaux pneus, plus résistants, se comportent différemment des précédents et le Red Bull, qui a beaucoup d’appuis, devra comprendre comment gérer cette nouvelle variable ».