Des voitures électriques, des incitations qui ne fonctionnent pas, un réseau d’infrastructures de recharge qui doit être amélioré, 2035 qui approche et qui ne peut être ignoré : ce ne sont là que quelques-uns des thèmes affronter et Michèle Crisci, Président de l’UNRAE qui représente les constructeurs automobiles étrangers en Italie, qui a profité des données de marché relatives au mois d’avril pour réitérer certaines positions de l’association et relancer certaines demandes formulées depuis un certain temps.
Les incitations ne fonctionnent pas
« Il faut espérer que nous travaillions efficacement, de manière coordonnée avec tous les sujets concernés et avec une stratégie pragmatique, pour atteindre l’objectif de zéro émission d’ici 2035. – a commencé le numéro un de l’UNRAE – De ce point de vue, nous insistons depuis un certain temps, nous sommes arrivés en mai et les données le prouvent, que les incitations à l’achat de voitures à faibles émissions ne fonctionnent pas : en avril le CO2 moyen a augmenté de 2,9 %“. Crisci parle d’une reformulation urgente du régime de subventions pour l’achat de véhicules neufs, avec le relèvement des plafonds de prix et l’inclusion de toutes les personnes morales avec des primes à taux plein.
Le thème des colonnes
L’espoir du Président de l’association est que la Table Automobile soit convoquée, dont nous n’avons plus de nouvelles, pour travailler ensemble vers des objectifs communs. Et parmi ces objectifs il y a aussi celui lié à réseau de charge pour les véhicules à batterie, Crisci lui-même explique : « Il faut rattraper les retards accumulés sur le front des infrastructures, en accélérant l’installation des bornes de recharge privées et publiques, notamment le long des autoroutes et des routes nationales, éviter la formation de nouveaux vides géographiques dans le pays et, en effet, va guérir ceux qui existent déjà ».
Protagonistes des voitures de société
Dernier commentaire sur voitures de sociétéqui a toujours été chère à l’UNRAE et que l’association ne veut plus voir exclue, ne serait-ce que partiellement, du passage à l’électricité. « La discussion au Parlement sur le projet de loi sur la délégation fiscale représente l’opportunité tant attendue de revoir le système fiscal des voitures de société à usage mixte, en modulant la déductibilité de la TVA et la déductibilité des coûts en fonction des émissions de CO2, avec une réduction parallèle des trois année d’amortissement Crisci conclut. Les voitures de société peuvent jouer le rôle de remorquage dans la diffusion de la mobilité zéro émission ».