Lufthansa prépare son entrée dans ITA Airways, Nous voilà. On sait que la compagnie aérienne allemande a exprimé sa volonté d’entrer dans le capital du transporteur italien en tant qu’actionnaire minoritaire, une action qui jusqu’à hier n’était pas possible et qui relève cependant désormais des pleins pouvoirs de Lufthansa. La raison? Le précédent décret relatif au dossier ITA instituait en effet pour la Mef le maintien obligatoire d’une participation de minoritépas de contrôle, un aspect retiré du dernier Dpcm approuvé hier en conseil des ministres.
De cette façon, Lufthansa ou quelqu’un en son nom pourra entrer dans l’actionnariat d’ITA Airways avec le 40% partager, une volonté exprimée par l’entreprise allemande elle-même ces derniers jours. Comme le rapporte Il Corriere della Sera aujourd’hui en kiosque, le gouvernement italien aurait demandé à Lufthansa (et à d’autres parties intéressées) de garantir un plan industriel avec une attention particulière au développement des hubs nationaux, à l’entrée sur les marchés stratégiques et à l’augmentation des vols long-courriers. itinéraires. Le journal fait également savoir que, de par la volonté exprimée par l’Etat dans le dernier Dpcm, parmi les soumissionnaires il doit nécessairement y avoir un compagnie aérienne et qu’à l’issue de la privatisation ce dernier est l’actionnaire majoritaire : on sait qu’à l’heure actuelle Lufthansa continue d’être clairement favorisée en ce sens, mais Certares, Indigo Partners et, au cas où elle voudrait se remettre dans le bras de fer , restent également en lice, Msc.
Le ministre italien de l’Economie, Giancarlo, a donné un changement au dossier ITA Airways Giorgettiqui lors de la réunion gouvernementale a d’abord décidé de ne pas prolonger les négociations exclusives le 31 octobre avec le fonds américain Certares, puis d’ouvrir la data room de Lufthansa le 16 novembre et de suivre personnellement le dossier. « Pour ITA, je pense qu’il peut y avoir de la place pour une entreprise avec un partenaire industriel important, car elle en a absolument besoin pour protéger les intérêts de notre pays« Adolfo Urso, ministre de l’Entreprise et du Made in Italy a ajouté aux micros d’Adnkronos Live.