Hamilton et Leclerc, futuri legati
Dans les dominos qui ont toujours représenté le marché de la Formule 1, deux pièces sont plus importantes que les autres. je suis Lewis Hamilton et Charles Leclerc. Leurs contrats expirent respectivement en 2023 et 2024, et aucun renouvellement n’a été annoncé pour le moment.
Le septuple champion du monde a parlé de rencontres fructueuses et de discussions avancées avec l’équipe de Brackley, mais la signature n’est pas encore arrivée, également parce qu’un contrat vedette comme celui de Sir Lewis a besoin de temps et d’une confiance totale entre les départs. Alors qu’Hamilton veut attendre les améliorations du W14 pour signer la prolongation, Mercedes a poussé le #44 à revoir son salaire annuel, compte tenu de l’âge et de la présence de George Russell.
D’après ce qui filtre de Grande-Bretagne, Hamilton ne semble pas nous entendre de cette oreille, et a demandé à Mercedes un 250 millions de livres sterling renouvelées sur cinq ans (environ 292 millions d’euros) au total. Peu probable que l’équipe de Brackley se pliera à ces demandes, il est plutôt possible qu’un compromis soit trouvé qui sauvera également l’investissement de Russell, qui aspire enfin à un rôle de premier guide et ne veut pas attendre trop longtemps avant d’avoir son possibilité. Selon mon collègue Leo Turrini, les deux parties parviendront à un accord : le renouvellement d’Hamilton serait une formalité qui favorisera celui de Leclerc. Pour le Monégasque, Mercedes est en effet l’une des très rares alternatives crédibles à Ferrari en cas de séparation fin 2024.
« À Montréal, le vétéran Hamilton a retrouvé l’atmosphère d’une époque géologique d’autrefois. C’était en 2007 lorsque Lewis a remporté le premier triomphe d’une carrière légendaire au Canada», lit-on sur QC. « Son séjour chez Mercedes devrait par conséquent favoriser le renouvellement de Leclerc chez Ferrari. Le contrat de Charles expire fin 2024. Jusqu’à présent, l’annonce attendue avec une impatience grandissante par les fans de Cavallino fait défaut. Maintenant, quelque chose pourrait enfin se débloquerétant entendu que le toujours hilarant Fred Vasseur a répété qu’il n’y avait pas de quoi s’inquiéter“.