Le ministre des Infrastructures durables et de la Mobilité Enrico Giovannini, juste avant de dire au revoir à son poste compte tenu des élections politiques du 25 septembre à l’horizon, a signé le décret d’application pour l’approbation et l’installation des soi-disant « dispositifs de compte à rebours » pour voir le temps d’allumage restant de feux de circulation.
Créée pour renforcer la sécurité routière, en particulier pour les personnes les plus à risque, y compris les piétons et les cyclistes, la note se lit comme suit les dispositifs seront obligatoires pour les municipalités italiennes dans les deux ans suivant l’approbation du programme triennal de travaux publics o du programme biennal d’acquisition de fournitures et de services.
Les nouveaux feux de signalisation se trouveront principalement aux passages piétons et cyclistes, à l’intérieur ou à l’extérieur des carrefours, et sera équipé d’un système de compteurs numériques à 2 ou 3 chiffres positionnés au-dessus du feu rouge, à une hauteur maximale de 4 mètres au-dessus du niveau de la route. À l’approche du rouge, un compte à rebours qui épelera le le temps disponible pour pouvoir traverser en toute sécurité.
Le Décret contient une annexe technique avec les exigences fonctionnelles des décompteurs, les modes de fonctionnement et les différentes caractéristiques ; les modalités d’installation et les conditions de commercialisation, basées sur les normes nationales et européennes ; les cas où l’installation des dispositifs est obligatoire.
Cette règle était attendue depuis 2010, date à laquelle l’article 60 de la loi 120 portant dispositions sur la sécurité routière a été promulgué. L’Italie a été particulièrement lente à se renouveler, d’ailleurs « entourée » de pays dans lesquels il y a au moins un passage du « jaune » entre le rouge et le vert. Avec le compte à rebours ce sera fait Un pas en avantmais en tout cas la lenteur bureaucratique du pays se confirme.