Respect gagné
En Formule 1, comme dans tous les sports, les résultats doivent gagner le respect non seulement de ses adversaires, mais aussi de ceux qui travaillent dans son « coin », au mur des stands, dans le but de maximiser les performances de la monoplace sur la piste. . Avec deux titres mondiaux remportés derrière lui et un troisième titre qui semble déjà se profiler à l’horizon, certainement Max Verstappen a gagné un crédit presque infini au sein de l’équipe Red Bull. Cela lui garantit une certaine liberté d’action et d’expression, y compris par la radio, qui ne serait probablement pas accordée à un autre pilote. Également lors de la troisième séance d’essais libres du GP d’Espagne, qui s’est tenue sur le circuit catalan de Barcelone, le champion orange en fait, il s’est livré à une «émission de radio» amusante.
Des idées claires
Après les blagues d’hier, en FP2, lorsqu’il affichait une telle certitude qu’il pouvait se permettre d’écouter les téléphones sonner au mur, cette fois Verstappen n’a eu aucun problème à répondre de manière assez décisive à son ingénieur de piste qui l’a invité à améliorer son propre rythme. Tout s’est passé dans la dernière partie de la dernière séance d’essais libres, lorsque le mauvais temps a pris d’assaut le circuit de Montmelò. Verstappen s’est ouvert avec son équipe par radio expliquant à Gianpiero Lambiaseson ingénieur de voie, par considérez qu’il est peu utile de continuer à rouler dans ces conditions d’asphalte.
Ne regarde pas les adversaires
Au constat que lui fit l’ingénieur italo-anglais, qui soulignait à quel point les autres pilotes continuaient d’attaquer, la réponse de Verstappen fut très claire : «Je m’en fous“. Un commentaire qui a laissé Lambiase sans droit de réponse, « contraint » de se plier à la volonté de son chauffeur. Il convient de préciser que la relation entre les deux est très bonne et souvent assez directe. Donc cette réplique résolue du champion du monde ne doit en aucun cas être comprise comme un coup de gueule contre son ingénieur, avec qui le lien professionnel et personnel est extrêmement étroit. Ci-dessous l’intégralité de l’échange qui montre une fois de plus à quel point Verstappen n’est en aucun cas concerné par le comportement de ses adversaires directs.
Echange radio
Versappen : « Je ne me sens pas à l’aise d’attaquer dans ces conditions. Je pense que c’est une perte de temps. »
lécher: « Tout le monde pousse. »
Versappen : « Ouais mais mec, je m’en fous si tout le monde pousse. Cela n’a aucun sens ».
lécher: « OK, j’ai compris. »