Le manifeste d’électrification selon Nissan porte sans doute le nom de C’est ça. Le crossover 100% électrique du constructeur automobile japonais a été développé avec le plus grand souci du détail : les chiffres officiels parlent de trois ans de tests et plus de 200 000 kilomètres parcourus dans le cadre d’un programme plus vaste de tests de résistance et de durabilité, suffisant pour couvrir une distance égale à cinq fois la circonférence de la Terre.
Ensemble, ils étaient 500 techniciens Nissan spécialisés qui a permis de simuler toutes les situations de conduite possibles, même les plus extrêmes, recréant des pistes exigeantes et cahoteuses qui mettent à rude épreuve la structure, le moteur, la suspension et divers équipements du SUV électrique par excellence de la marque japonaise. Des tests qui ont porté les résultats espérés : les tests effectués au centre de test de Tochig au Japon ont permis au constructeur automobile japonais de détecter environ 5 000 paramètres de performance, idéaux pour peaufiner Ariya de la meilleure façon possible. « En plus d’une décennie d’expérience dans le domaine de la mobilité électrique à l’échelle mondiale, Nissan a acquis une mine de données et d’informations sur les véhicules électriques et leur utilisation. Cela a permis de optimiser la conception et la création de la nouvelle Ariya et de développer des critères d’évaluation capables de reproduire fidèlement le comportement de la voiture en conditions réelles »lit une note officielle émise par Nissan.
La cible des ingénieurs de la marque japonaise était et continue d’être celle de garantir clients une sécurité maximale, une fiabilité maximale et un confort maximal dans toutes les conditions rencontrées dans les différentes régions du monde. Le tout dans un contexte d’extrême durabilité : la stratégie Ambition 2030 mis par écrit par Nissan soutient l’objectif de l’entreprise d’atteindre la neutralité carbone tout au long du cycle de vie de ses produits d’ici l’exercice 2050.