« La fête qui vient de commencer est déjà finie » A chanté Sergio Endrigo en 1976 et il ne peut y avoir de meilleur résumé pour résumer le conclusion dans l’œuf du duo Porsche-Red Bull, dont on a beaucoup parlé ces derniers mois. Au fil des semaines, les murmures sur un départ sensationnel entre la marque allemande de Volkswagen, bien décidée à entrer en F1 en 2026, et l’actuel leader autrichien de la catégorie, se font de plus en plus insistants, à tel point que ces derniers jours Helmut Marko a été poussé à être sceptique quant à une conclusion réussie des négociations. D’un côté, la crainte de Red Bull de perdre son autonomie, avec la filière motorisation récemment construite dans l’usine de Milton Keynes, de l’autre, les rumeurs sur la volonté de Honda de se rapprocher de la Formule 1 : Porsche aurait donc dû s’installer pour un partenariat simple, alors que les intentions semblaient être celles d’un engagement plus profond également dans le processus de prise de décision de l’équipe.
Ainsi, vendredi à Monza, le communiqué officiel de la société allemande, qui a sanctionné la conclusion négative des négociations avec Red Bull: « Les prémisses ont toujours été celles d’un accord basé sur une condition d’égalité, qui comprenait non seulement un partenariat moteur, mais aussi l’équipe. Et ce dernier objectif ne peut être atteint. Avec le changement réglementaire de 2026 finalisé, la Formule 1 reste sans aucun doute un scénario attractif pour Porsche, et nous continuerons donc à le surveiller.“.
Enfin, d’autres indiscrétions sont apparues ces derniers jours, avec McLaren prêt à embrasser Porsche (et ce serait un retour après la période 1984-1987), également grâce aux bons offices de la marque allemande avec Andreas Seidl, déjà par le passé lié à l’entreprise basée à Stuttgart dans le WEC entre 2013 et 2017.