La recette Opel qui combine sportivité et durabilité en une seule solution s’appelle GSe. Un nom qui n’est pas nouveau dans la gamme de la marque allemande, puisque dès les années 1970 cet acronyme était utilisé par Opel pour désigner ses modèles plus axés sur les performances. Mais si à l’époque la lettre « e » était utilisée pour un terme allemand signifiant « injection », elle symbolise désormais un autre concept clé de la gamme Opel : « l’électrification ». L’électrification est également le protagoniste de la Grandland GSe, l’objet de notre essai routier.
Groupe motopropulseur hybride rechargeable
La version la plus sportive du SUV allemand est équipée d’un respectable groupe motopropulseur hybride rechargeable, qui combine un moteur 1.6 turbo essence et deux unités électriques, une sur l’essieu avant et une sur l’arrière, pour une puissance totale de 300 CV et un couple maximal de 520 Nm. Des spécifications qui permettent au Grandland GSe de tirer de 0 à 100 km/h en seulement 6,1 secondes, et d’atteindre une vitesse maximale de 225 km/h, ou 135 km/h si vous roulez en mode tout électrique. En plus d’un système de traction intégrale électrique, une batterie lithium-ion de 14,2 kWh est proposée en combinaison, ce qui garantit une autonomie zéro émission d’environ 66 kilomètres. On a donc affaire à un SUV capable d’assurer des performances de haut niveau, avec des émissions de CO2 plutôt faibles, égales à 27-28 g/km.
De nombreux atouts
Mais le groupe motopropulseur hybride rechargeable n’est pas le seul point fort de l’Opel Grandland GSe. Son design extérieur « Bold and Pure », audacieux et pur, comme la philosophie de la marque allemande, mérite également une mention, ainsi que les intérieurs technologiques et confortables, caractérisés par des éléments exclusifs et distinctifs tels que les sièges spécifiques en Alcantara Certificats AGR, et donc super ergonomique. D’un point de vue technique, l’effort des ingénieurs d’Opel s’est particulièrement porté sur le châssis et la suspension, notamment avec l’introduction de nouveaux amortisseurs Koni qui font varier leur raideur automatiquement et mécaniquement, et non électroniquement, selon le style de conduite du conducteur. . La direction a également été améliorée, ce qui s’avère plus rapide en réponse et plus précis.
Nos impressions de conduite
Lors de notre essai routier, nous étions au volant d’une Opel Grandland GSe sur un itinéraire qui nous menait de Milan à Oneta, une ville de la province de Bergame qui s’étend sur une altitude de 1 231 mètres. Entre autoroute, routes nationales et routes sinueuses de collines et de montagnes nous avons pu tester la version électrifiée performante du SUV allemand dans divers contextes, et il faut dire que les retours que nous avons reçus ont toujours été prometteurs : ce qui nous a particulièrement marqué, c’est à la fois la précision et la douceur du pilotage, surtout dans la dernière partie du test qui nous a vu naviguer sur des routes de montagne plutôt étroites et sinueuses. Et on aimerait dire que c’est à tous égards un SUV qui s’adapte parfaitement à tous les contextes de conduite : il ne démérite pas quand on part en quête de performances supérieures et d’une expérience plus sportive, mais il est aussi capable de faire se détendre et se déplacer avec grâce. à travers le trafic urbain, garantissant le bon niveau de confort. Mention spéciale pour le poste de pilotage: les boutons physiques ne sont pas intrusifs, l’afficheur derrière le volant est facilement visible et fournit toutes les informations essentielles pour la conduite, une petite note sur l’écran central qui, en revanche, ne nous a pas particulièrement convaincus en termes de taille et opacité des images. En résumé, en tout cas, Grandland GSe nous a convaincus : le rendez-vous dans les concessions est fixé pour les prochaines semaines, avec des tarifs à partir de 55 000 euros.