Et Porsche les confirmations arrivent le les raisons derrière le futur débarquement en bourse, tout en le maintenant au statut de mouvement potentiel. Son opération boursière va financer et accélérer le développement du secteur de l’électricitéconduisant ainsi la marque (et l’ensemble du Groupe qui la contrôle) à franchir d’autres étapes vers un abandon, certes progressif, du moteur thermique.
Ceci est confirmé, selon Reuters, par le directeur financier du groupe Volkswagen, visage Arno. La direction allemande, sous la houlette d’Oliver Blume, est prête à discuter du débarquement en bourse, qui tarde à se faire entendre puisqu’on en parle depuis des mois. À ce stade, le premier coup de cloche pour la liste Porsche pourrait avoir lieu fin septembre ou début octobre.
« La bourse est un élément clé pour le groupe Volkswagen, d’autant que les bénéfices potentiels pourraient nous donner plus de flexibilité en prévision d’une accélération de la transformation électrique. Aucune décision définitive n’a cependant encore été prise‘, c’est le visage.
A l’évidence, l’entrée en bourse de Porsche sera un grand événement : non seulement pour la marque et le Groupe, mais pour l’ensemble du marché automobile. Aujourd’hui, investir dans les constructeurs automobiles, qui sont souvent confrontés à des ventes en baisse et à des coûts en hausse, pourrait être plus qu’un pari. Mais avec la promesse de l’électrique, il y a une chance pour beaucoup de susciter l’intérêt et de s’engager sur une nouvelle voie. Porsche aurait peut-être dû anticiper son déménagement, notant que la cotation d’une marque comme Ferrari, par exemple, n’a pas rendu plus difficile la poursuite de l’activité de construction automobile à Maranello. Sans compter que contrairement aux start-up américaines et chinoises, qui ont été les protagonistes d’exploits boursiers ces dernières années pour se retrouver en difficulté une fois devant la chaîne de montage, Porsche peut se targuer d’une histoire sans pareille.