Il 2022 Ce fut l’une des années les plus étranges de l’histoire récente McLaren, surtout pour tout ce qui s’est passé hors piste dans la seconde moitié du championnat du monde : surtout, l’affaire Piastri, avec le jeune Australien d’abord annoncé par Alpine comme nouveau pilote pour 2023 et intervenant ensuite en personne pour démentir la nouvelle, merci la signature a déjà eu lieu avec McLaren. Une histoire longue et complexe qui a ensuite été résolue avec le déménagement effectif de Piastri à Woking, domicile d’une équipe qui a ensuite dit au revoir à son directeur d’équipe. Andreas Seidl, nommé nouveau PDG de Sauber et remplacé par l’Italien Andrea Stella.
De plus, un autre épisode clé de la saison McLaren s’est concentré sur Seidl, cette fois lié à la figure de Daniel Ricardo. L’Australien, qui dans le 2023 il donnera son poste de pilotage à Piastri, en effet il n’a pas été reconfirmé en raison de ses performances décevantes lors de la dernière saison, au point de le pousser à accepter le rôle de troisième pilote chez Red Bull, restant ainsi éloigné de la grille de départ.
Un moment, celui inhérent à la décision de résiliation anticipée du contratqui pour Seidl était l’un des plus douloureux de tous les temps, comme indiqué dans une interview avec gpfans.com: « Professionnellement, c’était définitivement l’une des choses les plus difficiles que j’aie jamais rencontrées dans ma carrière – admit l’Allemand – avoir ces discussions ouvertes et honnêtes avec un grand pilote et un grand homme comme Daniel a été difficile. Surtout pour lui dire ouvertement et honnêtement que nous voulions nous séparer plus tôt que prévu. En même temps, ils sont très heureux que nous ayons pu le faire ensemble, avec la transparence et le dialogue ouvert que nous avons toujours eu, afin que nous puissions terminer une saison ensemble avec un grand engagement des deux côtés pour conclure de la meilleure façon possible. Nous avons toujours une excellente relation et pouvons toujours aller dîner ou boire une bière le soir. C’est très important pour moi car, au final, malgré toute la technologie complexe qui règne dans ce sport, ça reste un être humain. »