Domina l’Académie
[Rassegna stampa] – Il y a Bezzecchi e Bagnaïa, premier et deuxième au classement du championnat et dirigeants des deux premiers week-ends de la saison. Mais aussi Franco Morbidellienfin revenu goûter l’air du sommet en Argentine, et Luca Marini, bon troisième de la course Termas de Rio Hondo Sprint. Et tous les quatre ne sont que la pointe d’un iceberg bien plus profond. LE garçons de la VR46 Academy ils sont littéralement en train de conquérir le monde, dominant la classe reine du Championnat du Monde au nom de ceux qui les ont « élevés » pour s’amuser et – peut-être – gagner : Valentino Rossi. Sur L’empreinte Matteo Aglio a écrit à ce sujet, qui a analysé la naissance et le développement de la «créature» du Docteur.
Bezzecchi et cette ligne directe avec Sic
« Les mêmes boucles irrépressibles, le même sparadrap sur le nez, l’incomparable accent romagnol et le même goût pour les blagues, même le même nom : Marco. A beaucoup Bezzecchi rappelle Simoncelli […]. Le Bez (son surnom officiel dans le paddock) est le dernier produit de la VR46 Riders Academy de Tavullia, l’école des champions recherchée et fondée par Rossi il y a un peu moins de 10 ans. Pourtant, tout avait commencé plus tôt, lorsque Simoncelli, dans une année difficile, avait demandé à son ami Valentino de s’entraîner avec lui. […]”.
L’idée de la Saint-Valentin
« Le destin, cependant, avait décidé de prendre Simoncelli et Valentino était resté seul. Cette idée de se préparer avec d’autres coureurs, cependant, tournait sans cesse dans sa tête […]. […]. Le premier fut Franco Morbidelli, puis Pecco Bagnaia est arrivé et petit à petit tous les autres […]. […]”.
Un modèle de fonctionnalité
« La gestion d’un pilote nécessite près de 70 000 euros par an et est remboursée avec 10 % de son salaire. En échange, il dispose d’un personnel de haut niveau tant du point de vue de la formation sportive (avec Carlo Casabianca en charge) que de la direction. […]. […]. […]. Maintenant que l’ambiance est dans le paddock MotoGP, pas de réductions sur la piste et beaucoup de rires à l’extérieur. Les fans orphelins de Valentino cherchaient son héritier, il les a élevés lui-même et maintenant ils n’ont que l’embarras du choix“.