Charles Leclerc concourra à Spa-Francorchamps avec un moteur similaire à celui utilisé en Hongrie. Pas la même unité, car le moteur a été irrémédiablement endommagé par le contact avec Lance Stroll au départ de la course, mais avec les mêmes spécifications. Mises à jour prévu par Ferrari, qui aurait dû donner 10 ch de plus aux Reds en Belgique, ils ne sont pas encore prêts (certaines pièces sont encore en production) : le Monégasque pourra les exploiter lorsqu’il montera le quatrième groupe motopropulseur et devra donc encaisser la pénalité de dix positions sur la grille.
Pour un Leclerc qui à ce stade ne peut qu’attendre de savoir quand il sera contraint de faire un retour par l’arrière, il y a un Carlos Sainz cette peut pousser un soupir de soulagement. D’après ce qu’il a rapporté Automobile et sporten effet, Ferrari a réussi à sauver la deuxième unité (remplacée vendredi au Hungaroring pour certains paramètres suspects). L’Espagnol a donc encore deux moteurs à exploiter pleinement avant d’encourir une pénalité.