Max Verstappen il ne se détache jamais, même en se déplaçant. Le Néerlandais a en effet prévu d’installer un simulateur de conduite dans son jet privé de 13 millions d’euros. Cela a été révélé par Helmut Marko, un conseiller Red Bull qui connaît le champion du monde sur le bout des doigts et sait combien de passion et de dévouement il met dans son travail.
« Oui, Max a même modifié son avion privé pour qu’il puisse piloter un simulateur à l’avenir. Mais c’est aussi une bonne chose, car il a besoin de cette distraction. Quoi qu’il en soit, cela ne lui a pas fait de mal en ce qui concerne ses deux titres« , a commenté l’Autrichien Sport1.
De toute évidence, l’outil serait utilisé par Super Max pour rester en forme et non pour concourir, comme cela s’est plutôt produit au 24 Heures du Mans virtuel, une expérience clôturée par le Néerlandais avec des mots de feu : après deux mois de préparation, Verstappen menait la course mais quelques problèmes de déconnexion ont forcé son équipage à se rendre, et le numéro un du Circus – qui a toujours eu un caractère fumant – il n’a pas ‘t les envoyer dire, définir avec le terme clowns les organisateurs du concours.
La «maison» du simulateur de Verstappen sera le Falcon 900-EX, un avion à réaction construit par Dassault. Bien qu’il soit de construction française, Super Max l’a voulu noir et orange, avec des références précises au lion hollandais. Le véhicule a été acheté aux Néerlandais fin 2020 par Sir Richard Branson, fondateur de Virgin. Un investissement dont on ne se moque certes pas, mais que Verstappen a bouclé avec une relative facilité, disposant d’un contrat pharaonique avec Red Bull jusqu’en 2028 et d’actifs qui s’élèveraient à environ 120 millions d’euros. Un chiffre voué à encore augmenter au fur et à mesure des succès sportifs du Néerlandais, qui vient d’ouvrir un cycle et n’a pas l’intention de le boucler.