Les petites voitures ne sont pas mortes du tout. En effet, ils pourraient bientôt bénéficier d’un important coup de pouce de l’évolution du marché de l’électricité. Bien que pour de nombreuses voitures à batterie soient trop chères, avec des incitations, en Italie comme à l’étranger, l’intérêt pour les petites voitures électriques augmente ; en conséquence, plusieurs marques envisagent d’introduire de nouvelles offres dans les segments les moins chers.
Selon les rapports Semaine de l’automobile, le groupe Volkswagen tentera également. Skoda, Seat et Volkswagen lui-même proposeront de petites voitures électriques, éventuellement produites en Espagne (Skoda), pour attaquer le marché. La première voiture devrait être Skoda Elroq, prévu mi-2024 ; puis viendra le Volkswagen ID.1 en 2025, suivi d’une berline en 2027 (appelée ID.2). Compte tenu de la taille de l’ID.3, l’ID.1 pourrait être une citadine très compacte axée sur les services de mobilité plutôt que sur des contenus classiques (autonomie, performances).
La marque Seat, quant à elle, devrait mettre le modèle en lumière Acandra au début de 2025. Dans ce cas également, nous parlons d’une berline compacte, qui fera cependant un clin d’œil surtout à la jeune clientèle. Confiant dans la réduction du coût des batteries, les voitures pourraient avoir un prix catalogue d’environ 19 000 euros, dans un groupe qui en Italie est actuellement occupé par Dacia Spring.
Toutes les voitures électriques du groupe Volkswagen remplaceront ou intégreront des modèles endothermiques aux personnalités bien définies, à savoir Volkswagen Polo, Skoda Fabia et Seat Arona, et retireront la e-Up !, la Citigo et la Mii. Concernant l’architecture, Volkswagen vise à utiliser une version réduite de la plateforme MEB afin d’optimiser les coûts. S’il s’agira d’un véritable retour à la voiture populaire, comme mentionné, cela dépendra des prix choisis par les constructeurs par rapport au coût de l’unité de batterie, encore très important à l’heure actuelle, et du réseau de recharge qui doit s’améliorer. d’un point de vue infrastructurel. Les voitures électriques sont un lieu d’atterrissage naturel pour le monde des voitures à batterie, car elles n’ont normalement pas besoin d’une grande autonomie et de technologies extraterrestres pour susciter l’intérêt des clients.